Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)

Chapitre 27: Me permets-tu?

Bonsoir à tous! Désolée de cette longue attente, avec la rentré, et la page blanche, pas d'idée de quoi vous écrire! Je suis même pas au chapitre 30 que sa commence, sa s'annonce bien pour la suite, hein?

Pour me faire pardonner de l'attente, voici un chapitre assez long! J'attends vos retours des autres chapitres!

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Je me décide enfin à sortir de cette chambre. Mes boucles frôle de temps à autre mon visages et je le regarde. Il est là, dans le salon et il a même commandé de quoi manger. Son regard est d'ores et déjà fixé sur moi. Ses yeux gris, glacial mais chaleureux avec moi admire encore mon corps.

Il prend tout son temps et j'ai vraiment l'impression qu'aux lieux de ses yeux sur mon corps, se sont ses mains qui y passe. Je sens mes poils s'hérissés et je frisonne encore plus avec mes pieds nue sur le parquet.

- tu as froid?

Un hoquet m'échappe et je recule, constatant la proximité entre lui et moi. Je déteste cette rapidité qu'il a! Je lui réponds d'un regard noir. Il m'énerve! A vrai dire, il m'énerve car encore une fois, il me coupe en pleine contemplation. Pour lui. Je ne devrais pas le contempler. Oh que non, je ne devrais pas avoir envie de tarder un regard sur lui.

Il reste pourtant là, à me fixer, attendant patiemment ma réponse. Il ignore complètement comment je le regarde comme si ça n'avait pas d'importance. Et sa m'énerve encore plus.

- non. 

C'était bien plus sec que je ne l'aurai voulu et je m'en félicite un peu trop vite. Il fait un pas vers moi et je recule directement. Je sers les poings.  Je retiens mon stresse qui monte d'un coup en moi en voyant ses sourcils ce froncé.

- j'aimerai que tu me dises le problèmes que tu as ce soir avec moi, chérie. Me demande-t-il.

Il s'est légèrement penché vers moi et je remarque qu'il est aussi allé ce laver. Quelque goutte d'eau perle de sur son torse et j'ai envie de.... De... Je finis par remonter mes yeux dans les siens. Ce n'est que maintenant que je remarque qu'il est torse nue hors que c'est pourtant évident. Il a aussi remplacé son pantalon par un jogging gris. J'aimerai bien savoir d'où sa sort en sachant qu'il n'avait pas de vêtements en montant.

- Ylliëmée. J'attends.

Mon nom à sa bouche me fait complètement... Frissonner. Et j'ai du mal à avaler ma salive.

- je veux des réponses. Finis-je par dire. Qui était cet homme et pourquoi je ne peux pas rentrer chez moi. 

Il me regarde et se penche encore vers moi. J'ai envie de reculer. Pourquoi je ne le fais pas? Parque le regard qu'il me lance me donne encore plus envie de lui tenir tête. Même si je vais finir par le regretter. Certainement. Et dans pas longtemps. Car tenir tête à un homme n'apporte que des problèmes. Je le sais. Est ce qu'avec lui sa sera différent? Je ne peux le dire moi même. 

- cet homme et dangereux, voilà pourquoi tu ne rentres pas chez toi. Je dois être sûr qu'il ne sais où tu habites et que tu es en sécurité, pour l'instant, au moins pour ce soir. Avoue-t-il.

Je me crispe et recule encore. Il est dangereux. Quel paradoxe. Quel homme n'est pas dangereux, aujourd'hui, dans ma vie? Mes muscles, je les sens devenir dur et c'est désagréable. Je n'en ai pas finis des danger? Qu'est ce qu'il me veut, celui là? Je ne le connais même pas. En repensant à son visage et son sourire, je me met à frissonner d'effroi.