Chapitre 21: C'est tout ce que tu as?

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Logan Ebson

Il fait sombre dans cette pièce et les trois femmes que je lui es ramené en 2 semaines sont assise et attaché à une chaise. Elles sont morte de peur et je suis plutôt fier de moi. Je suis un bel homme, j'attire facilement la gente féminine et elles sont justes magnifiques.

Juste une lumière jaune au plafond et je reste là à les surveillé en l'attendant. Je suis dans mon box ou il y a quelque affaire à moi. La première est une belle blonde au yeux vert, une belle paire de sein même si elle aurait pu avoir mieux au niveaux des fesses. 

La deuxième est brune au yeux vert, bleu, fine, de petit seins rebondis et de belles fesses. Parmi les trois, c'est bien celle là ma préféré. La troisième a les cheveux curly noir, des boucles beaucoup moins grosses, pas comme les cheveux d'Ylliëmée. Elle a un jolis corps en triangle et des seins fermes, ventre plat et des fesses plates. Comparé à la première, il n'y a vraiment rien à tenir mais elle a un jolie visage et des lèvres pulpeuses.

Ses yeux sont simplement marron. J'entends des pas dans mon dos et me retourne. Il est accompagné de 2 autres hommes. Ils sont tout les trois plus grand que moi. 

- je vois que tu n'as pas chômer. Dit il.

- bonsoir, oui.

Il s'approche avec une allure bestial et je préfère reculer un peu pour lui laisser de la place. Il les observes une a une. Il s'approche de la blonde et se penche vers elle. Elle recule brusquement sa tête en continuant de pleurer à chaude larme.

- pourquoi tu pleures, voyons? Tu sera bientôt à moi... 

Il déchire sont haut avec une telle force que même d'ici, je vois les griffures qu'il a fait sur sa peau. Sa saigne et avec le bâillon qu'elle a dans la bouche, j'entends quand même son cri de douleur.

Il a une vue imposante sur son soutien blanc et sa poitrine bouge rapidement à chaque respiration saccadé. Elles sont toutes les trois bonnes. Il sourit et se redresse pour regarder les autres. Il les détailles chacune et maintenant, elles ont bien plus peur de lui que de moi.

- elles sont toutes les trois jolies et ont l'air bonne mais... C'est tout ce que tu as à me donner? Demande-t-il.

Je fronces des sourcils. Il est sérieux? Trois en 2 semaines c'est pas assez? Il souffle d'exaspération voyant ma confusion. Un de ses suivants tiens une petite mallette. Il y a des liasses de billet dedans et j'écarquille les yeux.

- je veux une belle femme au yeux bleu. J'en ai mais elles s'usent. Tu a quelqu'un ou je dois te laisser en attraper une? Demande-t-il.

Je fronces des sourcils pour réfléchir. Bien sûr, pourquoi pas? C'est une petite soumise de toute manière, même si elle m'a quitté.

- mon ex.

Il arque un sourcil, visiblement intéressé.

- elle a les yeux bleu?

- oui, un mélange entre l'azur et le turquoise. Elle a les cheveux bouclé et noir et elle est métisse.

- oh, sa m'intéresse, tu me donnerai une femme avec lequel tu es sorti?

- c'est une petite soumise. Je l'a frappais et elle m'a quitté. Mais elle n'est pas obéissante. Et maintenant, je profite de son argent.

Il grogne et je recule.

- les femmes que j'ai, je veux les marqués de mes propres mains.  Tu as une photo? Si elle ne me plaît pas et que tu m'as proposé une femme avec des cicatrices, qu'est ce que je te fais?

J'avale difficilement ma salive. Je n'ai pas de doute sur la beauté de mon ex mais il est lunatique. Je n'ai pas envie de me frotté à lui. Ylliëmée est la plus belle de mes ex.  Je sors mon téléphone, et pris qu'il me reste au moins une photo d'elle.

Oui, nous étions au centre commercial, au tout début de notre relation. C'est après cette photo que j'ai commencé à levé la main sur elle. Et franchement, c'est un putain de plaisir. L'entendre crier et la voir pleurer en se tordant de douleur.

Je lui tant le téléphone qu'il arrache littéralement de mes mains. Il montre la photo a ses deux suivants et me rends mon téléphone.

- c'est d'accord. Sauf que comme c'est ton ex, tu ne va pas me la ramener aussi facilement que les autres. Tu l'as connais et sa ne sera pas naturel pour qu'elle te suive. Je m'en charge.

Je hoche de la tête et jubile intérieurement, j'espère qu'il va bien profiter. Il claque des doigts, indiquant à son suivant de me donner la mallette et un sachet de drogue. Je souris. Je vais m'amuser ce soir. Maintenant, j'ai plus rien à faire. J'ai assez d'argent pour vivre à vis mais je dois encore profité de cette petite pute avant qu'elle soit hors de ma portée.

Elle a tout ce qu'elle mérite. Les femmes nous sont inférieur et doivent être utilisé correctement.


Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant