Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)

Chapitre 38: Ce n'est que le début.

Coucou, pour une fois que j'ai de l'inspiration maintenant, autant en profitez pour écrire. Je vous laisse avec le chapitre. Je n'ai rien de très intéressant à vous dire.

Si non, je vous souhaite une bonne journée

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L'odeur du sang. Je ne sens plus que ça.

Et le faite qu'Ylliëmée le regarde apeurée, à même le sol m'énerve. Oh que non, elle n'a pas peur de lui, en ce moment. Oui, elle a peur. Mais elle a peur de le voir mourir sous ses yeux. J'aurais dû être un peu plus vigilant à cette question. Comparé à moi, sans doute, elle n'a jamais vu quelqu'un mourir devant elle.

Elle est tétanisée sur le sol et elle ne parle pas.

- Ylliëmée. Je l'appelle.

Et quand ses yeux bleu tombe dans les mains. Mes ardeurs de vengeance retombe tout de suite. Et punaise, que ça fait mal. Car il y a une part de crainte dans ses yeux. Car c'est bien la première fois que je lui fait directement acte de violence, une terrible violence devant elle. Je finis par me levé, détournant le regard de ses yeux qui ont immédiatement refroidi mon corps. La flaque de sang continue de s'étaler sur le parquet. Et son cœur, n'est qu'à ça de s'arrêter. Mais malgré les sentiment que ressens en ce moment Ylliëmée, je veux qu'il meurt. Sauf que là, je ne peut pas me permettre de l'achever entièrement.

J'y suis presque.

J'Y SUIS PRESQUE!

Et bordel comment c'est frustrant de ne pas terminé ce combat - combat qui n'en était pas un puisque j'avais le dessus - alors qu'un coup suffirait à l'achever.

Un.

Un seul coup.

Mais au lieu du coup que je dois lui mettre, ce sont des coups que j'attends à la porte. Il y a bien 15 minutes qui sont passés depuis que j'ai arrêter de le frapper. Et je pense qu'ils ont dû courir. Ylliëmée à sursauté et j'ai senti son regard affolé sur moi. Mais je sais que c'est eux. Alors j'ouvre rapidement cette porte. Et directement, leur regard tombe sur moi et mes mains remplis de sang. La surprise se lit dans leur yeux et Hall regarde les couloirs pour voir si il n'y a personne.

Je les regardes un moment et tourne ma tête vers elle. Il est hors de question que je les laisse la voir dans cette état. Bien que vu ses souffles de douleur, ils doivent avoir des idées de ce qu'il s'est passé dans ce salon.

- Va dans ta chambre. Je lui ordonne.

Ses petit sourcils se fronces et elle me dévisage.

- Quoi, et puis quoi encore? Mais il faut l'emmener à l'hôpital!

Et le regard que je lui lance l'incite à se taire. Je n'aime pas lui imposé des chose, lui imposé une forme de soumission. Car elle est mon égal et en aucun cas autre chose. Mais elle se lève, refoulant un cri de douleur avant de marché lentement pour gagner le couloir de son appartement.

J'ouvre enfin la porte à Hall et Henly. Tout deux sont habillé d'un tee-shirt gris et d'un pantalon noir avec un simple gilet ouvert. En plein hiver. Mais c'est à dire que en temps que loup garou, nous n'avons pas vraiment besoin de manteau.

Je referme la porte derrière eux et leur yeux se pose immédiatement sur le corps presque inerte au sol.

- C'est qui? Demande Hall.

- Je sais pas et j'en ai rien à foutre. Juste, il a commis la pire erreur de sa vie. Crachais-je.

- Tu veux donc qu'on l'emmène à l'hôpital? Demande Henly.