Chapitre 48: Ce n'est pas finis.

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Bonjour à tous, nous voilà avec un nouveau chapitre. 

Si non, je n'est rien d'autre de bien intéressant à vous dire, à part que je me les gèles. La semaine dernière il faisait bon et là, on se croirait en plein mois de décembre. Non mais et puis quoi encore? Un peu de neige?

Bref, je vous laisse avec le chapitre. 

Bonne lecture

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Ylliëmée West

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Reste droite.

Tu dois rester droite.

Tu ne bouges pas, et tu gardes position.

Ne change pas de position, si tu bouges, sa pourrait t'être fatale.

Oui, regarde, il n'attends que ça.

Qu'un faux pas de ta part.

Comme un soldat sur sa position qui traque l'ennemie, ne bouge pas pour te faire repéré. Car cet ennemi n'attends que ça pour t'avoir. Alors reste en position, préparé au moindre mouvement de sa part. Préparé à contre attaquer ou attaquer en premier. Son sourire, te fait défaut, Ylliëmée. Il s'amuse, il n'attends que ça pour t'avoir.

Un interrogatoire. Il essaye de me faire perdre pieds. Il le voit et l'entends. Il entends, à quel point j'ai peur de baisser les bras et de me faire avoir. Malgré la douleur dans mes membres, je reste concentré.

Concentre toi.

Assis sur cette chaise, s'imposant a à peine un mètre et demi de moi, il n'attends que ça. Un sourire sadique nait sûr ces lèvres. Je voudrais qu'il parte. Qu'il détourne les yeux. Que je ne puisse pus voir le vert étrange de ses yeux. Perçant qui sont fixés sur moi, faisant augmenté mon stress et ma peur. Il le vois que j'ai peur. Que je suis effrayée. Il m'effraie. Il le sait qu'il n'a que attendre le moment ou je fermerais les yeux. Il me coincera et là, il me fera le plus de mal possible. Il veut me prendre par surprise.

Il n'attends que ça en me faisant perdre mon sommeil.

Il sait que à un moment, je vais flancher. Il n'a rien de plus simple à faire que t'attendre. Ses yeux sur mon corps sont un supplice. Un désir immonde y brûle et mon cœur se comprime dans ma poitrine. Ma respiration est lourde. Et je vois mes mains trembler. Puis, lentement, il a bougé. C'était tellement infime mais son geste à réussis à me faire sursauter. Il l'a vu et maintenant, il rit. Il repousse les mèches blondes platines de ses cheveux et se lève

Mon dos se heurte bien plus fort au mur. Il prends la chaise et la rapproche d'a peine vingt centimètres de moi. Il le fait exprès. 

Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant