Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)

Chapitre 43: Nuisible.

Bonjour à tous, rien de bien intéressant à vous dire pour ce chapitre.

Bonne lecture.

🎨

_____________

Quelques jour plus tôt.

Klïne Cares

2 jours.

Je ne tiens plus en place. Deux jours depuis que ce fils de pute là kidnappé. Et oh, je n'est jamais autant détesté les chasseurs de loup garou qu'aujourd'hui. J'aurai pu, oui, j'aurais pu aller la chercher hier. Toute mes terminaisons sont en alerte. Tout mon corps est crispé de la rage qui m'anime.

Parce que, devinez quoi? Les chasseurs de loup sont très intéressé par l'alpha Charles. Et ça, sa n'annonce rien de bon. Les chasseurs de loup garou ne traîne dans les parages que si il y a un réel problème. Un exemple simple, un loup garou qui se croit un peu trop poussé des ailes et menace un peu trop de révélé notre existence à la population humaine.

Mes mains tremblent. J'imagine déjà l'étripé de mes mains. Hum, il faudrait déjà que j'arrive à allez plus loin que la frontière de sa meute. Fort heureusement, pour l'instant, maintenant que je l'ai marqué de mon odeur, je ne ressens aucun problème pour elle. Du moins, pas encore, et je dois la récupérer avant qu'il ne décide de lui faire quelque chose.

Alors mes yeux se rive sur sa table basse. Je ne peux pas rester ailleurs que où règne son odeur. C'est à dire, chez elle. Tout à été nettoyé et arrangé dans son salon et je suis content de ne plus sentir sont odeur à lui. Rien que d'imaginer ses doigts se posé sur la peau douce de mon âme sœur fait mon cœur gonflé de haine.

Je suis à nouveau seul.

Alors qu'il y a quelque jours, elle était avec moi, bien qu'elle m'en voulait encore. Et puis, nous devions parler de Emma. Bien qu'il 'y est rien à dire. C'est elle et seulement elle qui compte à mes yeux. Le reste peut bien dire ce qu'ils veulent, je n'en ai rien à foutre. Les anciens n'ont aucunement besoin de savoir qu'elle est une Menester pour l'accepter.

Non, ils le sauront  au moment voulu. Le temps défile et pourtant, je suis là, assis, essayant de me calmer du mieux que je peux. La défaite cuisante de ce sauvetage me reste en travers de la gorge. Son appartement semble comme hors du temps.

Comme si elle allait ouvrir la porte et sauté dans mes bras. Mais on sait bien que c'est faux. Pourtant, entendre frappé à la porte m'a complètement fait sortir de ma rêverie. Je regarde la porte fermé quelque seconde. Il y a bien quelqu'un, derrière la porte. J'entends un cœur battre. Un humain. Clairement un homme.

Je fronces des sourcils et me lève. Je marche lentement jusqu'à la porte et encore une fois, sa frappe à la porte. J'ouvre pour regarder d'un mauvais œil la personne qui me fait fasse. Ouais, un homme un peu plus foncé que moi, de la quarantaine vu les quelques cheveux blancs dans ce qui lui reste de cheveux et dans la barbe. Juste un peu plus petit que moi, avec un ventre à bière. C'est qui celui là, encore?