Une nuit à jamais( Réécriture À Venir)

Chapitre 31: Nouvelles

Allez, je suis d'humeur, deux chapitres pour le prix d'un, aujourd'hui. Attention, ce chapitre peut heurter la sensibilité des plus jeune! Et oui! Merci, je vois le nombre de vue augmenter depuis quelque jour! Mais le plus important, c'est vos commentaires! Allez, laissez moi un peu rire de vos messages :)

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Charles Lodgeden

Je grogne en voyant des larmes coulé sur ce visage.

Elle suce mal. 

Et que je déteste ça.

 Ses yeux vert et bleu sont bleu sont brillant de larme. Je tire sauvagement ses cheveux brun et elle retire brusquement ma queue de sa bouche en criant de douleur.

- suce moi mieux. Crachais-je. Tu veux que je te frappe. Tu as intérêt à mieux sucer. Car c'est dans ta chatte que ça va aller. Tu comprends?

Et ses larmes redouble. Et je dévore son corps des yeux car elle est déjà nue devant moi. Et j'ai bien envie de l'entendre crié. Comme hier. Comme la petite salope qu'elle ai. Et voir encore son sang coulé de son entre jambes quand je vais la pénétrer brutalement tout à l'heure. Quel satisfaction.

Elle, entre les trois que ce petit humain m'a ramené, c'est ma favorite depuis quelque jour.

- tu as compris?! Criais-je.

- oui! Oui, j'ai compris! Suffoque-t-elle.

Et j'enfonce sa bouche sur mon pénis. Et là, bizarrement, elle y met beaucoup plus du siens. C'est bien. Je lâche ses cheveux et la laisse faire. Je pince violement le petit téton d'un de ses petits seins. Elle hurle de douleur et malheureusement pour elle, elle met les dents. Mes dents grince et je la pousse de moi. Elle tombe en un fracas.

- je suis désolée! Je suis désolée! Crit-elle.

- pas moi.

Je tire brusquement sa jambe vers moi en posant mes genoux à terre. Et je la tourne pendant qu'elle essaye de me fuir. Mais oh, qu'est ce que tu fais? Tu est enfermée dans cette chambre avec moi, petite chose. Et son cris de douleur me fait sourire. Quand j'enfonce mes ongles dans la chair de ses cuisses.

Violemment.

 Mon sexe la pénètre. 

Son hurlement me pousse a y aller encore plus brutalement. Alors qu'elle est à peine mouillé pour se protéger contre la douleur. Le haut de son corps s'aplatie au sol. Mais pas ses fesses, que plus vite, j'aplatie sur mes hanches. Je la baise, oui. Mais le corps auquel je pense est cette femme.

Et qu'est ce que j'ai envie de la baiser. De l'entendre hurler d'arrêter, ses pleurs et crie de douleur. Comme celle que je baise. Cette petite humaine au yeux bleu, métisse au cheveux noir.

Et ce corps, dans cette robe doré. Oh oui, elle est bonne. Des gros seins et de magnifique fesses moulé dans cette robe. Et je griffe les fesses de cette femme. En repensant à cette odeur sur elle. Quand j'ai voulue m'approcher. Alors comme ça, alpha Klïne. Tu l'a réclame comme tienne? Avec ton odeur?