Chapitre 2 : Tes Yeux

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Naples

Je me réveille avec une putain de gueule de bois, merci l'alcool. J'allume un joint et je lève mon cul de mon lit pour prendre une douche et m'habiller.

Aujourdui la matinée vas être sanglante, l'homme qui à volé mon fric va mourir de mes mains sur son cou.

C'est un homme mort, ici pas de vol.

Pas de meurtre : pas de corps.

Je déteste les voleurs et les menteurs et j'espère pour lui qu'il n'est pas un menteur. Je vais lui coupé la langue et m'en servir comme savonnette. Je pourrais me servire de sa tête comme ballon de football, mais je ne fait pas de foot.

J'attache mes cheveux en queue de cheval et maquille mon visage pour cacher les nombreuse cicatrices faite par mon paternel qui pourri désormais dans sa tombe, ronger par les asticots. Je me regarde dans le miroir et je me trouve magnifique. Je suis très narcissique. Je n'aime pas mes yeux bleu océan, ils ne reflète rien. Il n'y a pas de cœur qui bat ni d'une âme charitable à l'intérieur du diable.

- Kath on y vas.

- Je descend.

J'enfile une veste de costume et je prend ma hache.

D'autres ont des couteaux des flingues et moi j'ai une hache.

Je monte dans la voiture accompagné de Irina et quelques hommes en costume noir. Nous arrivons à l'entrepôt où l'homme est attaché.
Je descend la première et j'arrive devant lui, il est habillé d'un costume noir et ses cheveux de jais lui tombe sur le front. Il est très bronzé et ses yeux.. Putain ses yeux sont d'un gris incroyable.

- Alors petite pute tu vole le fric des autres ?

Je m'installe sur une chaise en face de lui, il reste stoïque et son visage n'affiche rien, aucune expression, il est neutre et putain il est canon. Je mord l'intérieur de ma bouche parce que je divague. Il plonge ses yeux gris dans mes yeux bleu océan et prend la parole. Sa voix chaude et grave est envoûtante.

-La mia bellezza tu sais à qui tu parle ?

Pas vraiment mais je pense qu'il va me le dire.

- Non et je m'en fou, rend mon blé.

- Je suis benicio Veradetti.

Le fils de Giovanni.

- Mon père était ami avec le tien.

- Et alors ?

- Ton fric est aussi le mien.

-Mon fric est à moi ! Je n'aime pas les voleurs.

- Que va tu me faire beauté ?

Il me provoque, l'enfoiré.

- Je vais te tué et t'arracher le cœur.

- Beau programme.

- Ta gueule.

- Ta vulgarité me donne envie de te punir.

- Je ne couche pas avec les puceaux.

- Je suis un maître dans la matière.

- Je préfère me suicidé.

- Pas une grande perte.

- Ta gueule.

Je bondis de ma chaise et j'approche de lui tel un félin avec ma hache.

- Ne me coupe pas les couilles.

- Je vais te couper la tête.

Je suis devant lui et je n'arrive pas à lui couper la gorge comme je le souhaité.

KATHERINA GUSEVA ~SAISON 1,5~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant