Chapitre 10 : La Nuit

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Naples

Dans la nuit noire de l'âme, il est toujours trois heures du matin.

J'aime la nuit, elle est belle, elle est sombre, sombre comme mon âme.
La nuit personne ne me dérange.
L'autre n'est pas venue me regarder dormir, car j'ai demandée à la nuit de le plonger dans des ténèbres horrible.
La nuit et comme une douce mélodie, le calme absolue comme un dernier souffle sur ma vie merdique. Venez me cherché je n'attend qu'à être tué à l'aube devant les autres.

Je ne cherche pas de rédemption le mal est fait.

Je ne dort pas, je ne dort plus.

J'ai besoin d'oxygène car je n'en est plus..

Assis sur une chaise mon père se moque de moi.

- Dégage connard !

Il disparaît..

Il vient toujours me hanter à 3h du matin.

J'ai appris hier soir que ma consœur Gina Redvosky avais imaginée avoir un père qui est mort et un mec aussi.
Vadim n'existe pas, j'espère ne pas finir comme ça.

Je vois déjà mon père qui est mort toute les nuits sur une chaise tapis dans l'ombre me regardent avec un sourire mauvais.

Laisse moi tranquille, laisse moi vivre.

Je déteste ma vie et vous dire que je l'aime serais mentir, je ne ment pas ou presque pas.

J'ai le vice dans le sang comme la manipulation et ça m'aide beaucoup quand je joue au poker.

Mais la devant vous pourquoi je mentirais ? Je suis sincère quand je dit que je veux mourir.

Les antidépresseurs ne fonctionnent plus donc je préfère prendre de lheroine.

Le médecin ne serait pas content.

Tant pis.

Je me lève du lit et j'allume une cigarette, tout est noir.

Je suis plongée dans le noir et je ne vois que grâce au feu de mon briquet quand j'allume ma sèche.
Je vais dans le salon et je m'assois sur un canapé près du feu qui crépite.

Seule avec moi-même.

- Coucou.

Je reconnaît la voix de Irina.

- Salut.

- Dit-moi ?

- Ouais ?

- Le Stan il existe ?

- Qui ?

- Le frère de Redvosky.

- Il est mort l'année dernière, il s'est suicidé.

- Pou.. Pourquoi ?

- Il pouvait pas géré la folie de Gina donc il s'est plombé la cervelle devant elle..

- Devant sa sœur ?!!

- Ouais, elle a était traumatisée.

- Comment il était ?

- Il était d'une gentillesse qui m'a transpercé l'âme.. J'ai jamais connue quelqu'un d'aussi gentil que lui. Il était naïf aussi et vraiment chiant.

Je sourit en disant ça, Stan était mon ami, le seul ami que j'avais.

- Tu lui en veux pour son geste ?

- Non.

Irina part en me laissant seule.

Stan me manque quelque fois, il était d'une gentillesse qui touchent les gens comme moi, les gens mauvais. Il était amoureux de moi, amour par réciproque, je le voyais comme un frère moi qui suis enfant unique.

KATHERINA GUSEVA ~SAISON 1,5~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant