Chapitre 36 : Souvenirs

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Naples

Par ou commencer ?

Je n'ai pas de bon souvenirs de mon adolescence ou de mon enfance. Père étais un homme violent et mauvais, mère étais une pute.

J'ai vécu dans la richesses mais avec le cœur pauvre.

J'avais une chambre pour moi seule même si je suis enfant unique.

Ma chambre étais loin de celle de mes vieux.

J'avais énormément de jouets et un grand lit et des murs peint en bleu nuit. J'avais aussi une grosse commode couleur crème et pleins de nournours. Une grande fenêtre et un lustrée ornée de diamants, mon père voyait gtand.

Les seuls fois où j'étais tranquille s'est quand il n'étais pas à la maison, en voyage d'affaires.

Je pouvais souffler un bon mois.

Quand il rentré tout recommencer.

Les injures, la violence, l'alcoolisme.

Le chaos.

Je ne me souviens pas d'une vie heureuse.

Sauf quand il n'était pas là.

Ma chambre était mon exécutoire.

Aujourd'hui encore je vis en enfer, décalé des autres. Enfant surdoué.

Je n'aime pas la vie, je n'aime rien.

J'aimerais partir, m'envoler dans une autre galaxie.

Je suis dans des ténèbres bien trop profond pour un humain lambda, la lumière ne m'atteint pas, elle ne viens pas vers moi, elle me fui.

Je me souviens d'un jour de pluit à Naples, mon père étais sur sa chaise regardent le journal et ma mère repassé les chemises de ce connard. Il a sauté de sa chaise et a empoigner ma mère par la tignasse disant qu'elle n'était qu'une bonne à rien dans cette baraque. Je jouait avec mes peluches et je n'ai rien dit, dire quoi ?

Je n'étais pas effrayé par l'homme qu'il était, j'en étais dégouté.

Malheureusement pour moi j'attire que ce genre d'homme.

Impulsif drogué et violent.

Un contrats de moi finalement.

J'aurais pu avoir de la pureté dans le cœur, il est vide. L'âme est rempli d'amertume et de noirceur.

Je suis ce que je suis.

Je vous déconseille d'être comme moi.

Je ne suis pas un modèle.

Gina n'est pas un modèle.

Je suis pas une héroïne.. Mais l'héroïne m'as eu.

Après 3 semaines dans ma piaule j'ai décidé de me doucher et d'aller dans mon bureau.

J'en suis à mon 15ème cafés de la journée.

Pas d'alcool.

Mon foie ne supporterais pas je croit.

Chez moi tu n'a pas le droit d'être '' heureux '' un sentiment de faible comme disait l'autre.

J'allume une sèche.

Je porte encore des lunettes car mes pupilles sont dilaté et les veines des yeux éclaté.

Je pourrais me faire soigner, mais je vais ressentir un vide qui m'est incconu, un vide que je n'ai pas choisis. Pas le vide habituelle qui habite mon cœur depuis ma naissance.

KATHERINA GUSEVA ~SAISON 1,5~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant