Chapitre 20 : Perpétuité

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Naples

1 mois plus tard

1 mois je suis ici enfermé pour complicité d'évasion.

Benicio est venue me voir encore une fois.

J'ai pas arrêté mes affaires nocturnes avec Marcello.

La gardienne jalouse le sais.. Je ne sais pas comment elle le sais mais je vais la détruire.

Ce matin elle m'a giflé une fois puis deux et je lui tordu le bras.

Je l'attend avec un couteau que ma donné une femme à la promenade du matin.

- Tu te croit plus forte que tout le monde ?

- ouais exactement.

- Tu n'est qu'une putain.

- Vous vous êtes aigris et moche.

- Ferme la Guseva.

- Sinon quoi ? Tu vas encore me giflé ?

- Oui.

- Moi je vais te massacré et hanté tes rêves chaque putain de nuit. Tu ne sais pas à qui te t'adresse espèce de groniasse.

- J'ai pas peur.

- Tes yeux indique le contraire.

Elle ne bronche plus et recule quand j'approche vers elle.

- Tu as peur ?

Elle ne répond pas.

J'approche mon visage du sien et je lui met un coup de tête elle tombe au sol et prise d'une rage incontrôlé je lui massacre le visage.

- Si tu ose dire à tes collègues que c'est moi qui t'as fait ça je te tue.

Elle hoche la tête et part en courant.

Je lave mes mains remplies de sang et je m'assois sur mon lit en allumant une sèche en regardent dehors.
Hanna s'assoit sur son lit le visage tuméfié, je ne la calcule pas. Chacun sa merde.

Je passe mon après-midi en promenade.

J'en profite pour faire des pompes et courir.

- Wow la gardienne a une sale gueule.

- C'est moi.

Dis-je d'un sourire atroce.

- Elle le mérite cette  poufiasse !

- Ouais elle le mérite !

- Carrément putain de grosse vache haineuse.

Je rigole mais pas de joie.. Non de haine.

La haine consume mon âme, elle la brûle.

Je m'assois sur un banc et allume ma sèche sous le regard apeurée de la matonne. Je la déteste et j'espère qu'elle vas mourir.

Je décide de rentrée et de me foutre au lit sans manger.

- Tu ne mange pas ?

- Ferme la.

En fin d'après-midi je vois mon avocat que Benicio a choisi, il s'appelle Ace il a 31 ans, un ancien motard. Un putain d'américain qui parle italien comme personne. J'espère qu'il va me sortir d'ici.

J'ai entendu le directeur dire que j'en ai pour la perpétuité.

Cette salope de gardienne n'a rien dit mais je trouve ça bizarre.

Je suis juste complice d'évasion.

Redvosky elle est à l'asile et moi en taule.

J'ai les boules, je ne veux pas finir ma vie ici.

KATHERINA GUSEVA ~SAISON 1,5~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant