Chapitre 4 : Gangsters

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Naples

Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu être une gangster , ressentir la peur des autres en un simple regard de mes yeux bleu océan.

J'aime les films de mafia réalisé par des italio/américains. Mon préférée reste le parrain.

Aujourdui j'ai la vie dont je rêve depuis petite, ceci n'est pas un film. Mon histoire n'est pas belle ni rose, elle est d'une noirceur infi. La manipulation est en moi depuis si longtemps, j'arrive toujours à mes fin. J'aimerais mourir dignement à la fin, pas enterré dans le même cimetière que mon pourriture de partenel. Je n'ai pas peur de la mort, je la côtoie tout les jours et cela me fait un bien fou. Je n'ai pas le cerveau malade comme ma consœurs Gina Redvosky, je suis lucide, je suis juste un petit peux tarée.

La mort me conviens, c'est la fin de tout.

J'allume mon poste de musique et je met du Lana del rey : West coast.

J'adore cette femme.

J'allume une cigarette et je bouge la tête au rythme de la musique, je ne danse pas. Je suis quelqu'un d'assez pudique. Je ne suis pas pudique avec les hommes car seule moi les touche. Je n'aime pas qu'on me touche ça me bloque. Je pourrais tué si on me touche sans mon accord, j'ai la gâchette facile et le coup de hache rapide. Je ne sais même pas pourquoi j'ai choisi la hache comme arme de point. Assise dans mon bureau quelqu'un toque à ma porte.

- Entrez !

- Excuse moi katherina je peux te parler ?

Putain.. L'autre débile s'approche de moi.

- Parle.

- Pourquoi tu me déteste ?

- Je n'aime pas les voleurs.

- Je vais te rendre ton fric.

- J'espère bien.

- Tu es très belle.

- La flatterie ne marche pas avec moi.

- C'est la vérité, je suis juste sincère.

- Hm.

- Ton père te manque ?

- Non, qu'il pourrisse en enfer.

- Outch.

Il rigole de bon cœur, enfin je ne pense pas qu'il a un cœur.

- Toi aussi ton père te frapper ?

Corde sensible.

Je sens mes muscles se tendre et mes mains qui tremblent.

- J'en déduit que oui.

- Pourquoi tu veux savoir ça ?

- Mon père me frapper.

- Et ?

- Nos cicatrices sont similaires.

- Mouai.

- Tu peux m'en parler.

- Je n'ai pas besoin de psy.

- Mon père me battait tout les soir jusqu'à ma majorité.

- Hm.

- S'il te plaît parle moi.

Je n'ai pas envie d'ouvrir une plaîe béante même pas bien refermé.

- Hm.. Mon parternel me battait beaucoup aussi.. Puis il est tombé malade comme un chien donc il a arrêté.

- Putain.

- Ce n'est rien.

- C'est fou.

- Pas tant que ça.

KATHERINA GUSEVA ~SAISON 1,5~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant