Chapitre 16: Mon Ange

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Naples

Comment un ange peut-il sauvé une âme damné ?

Je suis vouée à l'enfer depuis des années, coupable de choses horribles.

Aujourdui j'ai dit oui pour dîné avec Benicio.

Je n'ai pas décliné.

Le diable à besoin de son ange, un ange déchu.

Je suis apprêté est je me trouve très belle, nous sommes toujours dans l'immense baraque des Adrianno en attendant d'avoir une vraie maison.
La mienne me manque, tous souvenir est parti en fumé, mon âme avec.
Je vais dans la voiture et nous allons au restaurant, pourquoi ai-je acceptés ?

Je n'ai pas faim.

J'ai besoin de sommeil.

De drogue

Et

Et

Et

D'alcool

Peut-être de meurtre.

Roooh Gina sort de mon corps.

Arrivant devant notre table il me tire la chaise, agréable.

Le serveur arrive avec du vin rouge, je suis joie.

Durant toute la soirée il m'a dévoré des yeux, je n'était qu'à ce moment là une boule de gêne, moi qui suis t'es sûr de moi. Malhreusement je n'arrive pas à lire dans ses yeux gris qui transperce mon âme. L'impression qu'une lame découpe mon âme en petit morceaux et que mon corps fond.

Il a une éloquence parfaite, je ne sais pas ce qu'il me prend.

Ma bouche voudrait être sur la sienne a jamais, comme un pacte scellé.

- je suis ratée..

Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça.

- Tu plaisante ? Tu es une œuvre d'art, mon œuvre d'art.

Il accompagne sa phrase d'un petit sourire et d'un clin d'œil, ce qui me met mal à l'aise.

Il est adorable et dire ça me poignarde le cœur que je n'ai pas.

Il pourrait faire fondre un cœur gelée.

L'estomac me brûle à cause de l'alcool mais je fait face, toujours.
À quoi pense-il ? Je le trouve dans la lune mais pourtant il me regarde comme si j'étais la 8ème merveille du monde. Je ne suis que d'échéance et destruction, que pourrait-il me trouver de bien ? L'âme est trop noire.
Je suis trop détruite pour espérer un amour qui au final me fera perdre la tête, déjà que je suis complètement MALADE.

Perdre la raison : ✅

Nous rentrons chez les Adrianno.

Dans la nuit mes plus beau cauchemar m'empêche de dormir comme je le souhaiterais.

La nuit fût courte j'ai décidé de boire du vin à 3h du matin pour dormir + des somnifères mais nada.

Je n'arrive toujours pas à dormir

J'ai besoin de drogue et de la mort pour un sommeil éternel.

Le lendemain je me réveille avec une douleur tout le long de la colone vertébral, Irina ma emmène à l'hôpital car je ne pouvais plus bouger.

Le docteur a été radical.

- Plus de drogue le sang vas être infecté.

Du coup je reste a l'hôpital pour une durée indéterminée.

Je n'aime pas ça

Je déteste ça.

Le blanc pâle de l'hôpital, les lumières et le goût amère me font pensée à la mort.

Je dois restée là-bas.

Je me meurt ici à petit feu, personne ne se doute de rien, comme si j'étais déjà un fantôme parmi les vivants.

Benicio est la devant mon mot d'hôpital serrant une de mes main dans la sienne avec force.

- tu es rentrée dans ma vie, non
comme on rend une visite, mais comme on arrive dans un royaume où toutes les rivières attendaient ton reflet et toutes les routes, tes pas.

Je sourit timidement et il me rend ce sourire avec aucune émotions, sauf ses yeux qui reflètent quelques chose d'interdit, quelque chose que je ne peux vous dire.

La nuit tombe sur l'hôpital et je me retrouve seule avec moi-même et mes démons intérieur qui m'incite à partir dehors pour piquer ma veine gauche pour me faire souffrir, il n'y a que de la souffrance que je me sens vivante.
Le démon sur mon épaule gauche veux que j'aille dehors et L'ange sur mon épaule droite me fait la morale.

Tiraillé entre mes anges et mes démons alors que je suis moi-même Lucifer.

Ici ils ne m'ont pas donné mes somnifères.

Je n'ai pas même pas de vin.

J'ai envie de mourir, de me jeté par la fenêtre.

Vous retrouverez mon corps éparpillé en milles morceaux.

La nuit défile tout doucement me laissant pour morte, je suis comme une épave sur mon lit d'hôpital.

J'aurai pu tuer tout ces gens dans l'hôpital pour une crise de colère non justifié.

J'ai l'impression d'être comme Gina Redvosky, ma grande amie.

Elle est devenue folle et moi je le suis déjà, espérons ne pas finir comme elle.

Nous sommes désormais le matin, tôt le matin.

Les infirmières viennent me donné à manger, je mange rien.

Benicio est venu est ma dit que j'étais belle comme un ange.

Puis il m'a caressée les cheveux en m'appelant mon ange.

L'après-midi j'ai contemplé les fenêtres anti-suicide, dommage qu'elles sois fermée.
On m'a donné un thé à la rose et des médicaments.

On moins sa me fait comme une drogue de synthèse dans la corps.

Mon héroïne me manque, un autre point commun avec Gina Redvosky.

Ne vous méprenez pas cher amis, je ne suis pas elle et elle n'est pas moi.

Je suis l'unique désastre de ma propre vie.

Irina est venue me voir mais elle a refusé de me donné de l'héroïne.
J'ai souri pour ne pas m'énerver, apparement s'est pour mon bien.

On m'a laisser mes écouteurs et moi téléphone, je prend les écouteurs que je ramène dans mes oreilles et je vais dehors sur un banc surveillé par une infirmières.

J'allume ma sèche et je met lana del rey en fond sonore.

Dealer.

Je suis énervée car personne ne comprend, personne ne me comprend. Je suis toxicomane depuis des années et même mon ordure de père ne disait rien il subissait et moi je subissait sa violence.

L'Infirmière me regarde, pire elle me sonde.

Que veux-tu trouver ?

L'âme est noire et le sang et noir.

Les pensées suicidaire remplissent mon âme et ne fortifie pas mon cœur de glace.

J'aimerais disparaître pour de bon.





KATHERINA GUSEVA ~SAISON 1,5~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant