Chapitre 30 : Contrat

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Naples

Deux semaines plus tard

Tw : sexe /violence.

Le dégout ? C'est ce que je ressens actuellement. Avachi sur ma chaise devant mon bureau. J'ai fait signé à Benicio un contact qui stipule que celui-ci ne doit plus s'approcher de moi.

J'aurais pu lui faire quitté la maison mais je préfère juste l'ignorer.

Le dégout est tellement immense..

Il continue de faire l'amour à des putes sous mon toit et je moi je vais au bar et je couche avec des hommes. J'ai repris l'alcool et je me sens vide. J'ai ramené des hommes ici sous ses yeux pour lui dire que moi aussi je sais joué, je joue mieux que lui. J'espère qu'il souffre quand il entend mes cries dans la nuit.

Je simule bien.

Je n'aime pas les homme que je ramène ici.

Aujourdui Ezio viens à la maison et je vais bien m'amuser.

Je veux que Benicio souffre comme moi je souffre à l'intérieur.

Ezio est le monstre qu'il me faut, celui qui calme la tempête.

Je me prépare en vitesse et Ezio est déjà dans la cuisine.

Il est beau mais pas comme Benicio..

Sort de ma tête.

Pourriture.

- Qu'allons nous faire ?

- Baiser.

Il sourit et attrape mon cou avec force. Je n'ai presque plus d'air et je me demande si il ne se venge pas pour le dîné de la dernière fois.

- Lâche moi.

Il serre de plus en plus et je me dit que je vais mourir dans ma cuisine.

Il retire ses mains puis embrasse mon cou avec argne et retire ma robe qui glisse au sol. Il plonge sa tête entre mes cuisses et embrasse mon intimité puis il la léche. Ezio me procure toujours du plaisir dans le sexe. Il n'est pas doux il est brutal comme j'aime.

Il entre son sexe dans mon vagin. Les coups de reins défile.

Après le sexe j'allume une sèche.

- Tu m'utilise pour blesser Benicio ?

Demande-t-il

- Ouais.

- Je ne t'en veux pas.

- J'ai besoin de passé à autres choses.

- Je comprend.

Il est étrangement calme.

- Tu es si calme.

- La drogue.

Ah.

Je me disais bien.

- Je vais rentrer chez moi Kath.. À demain.

- À plus.

J'ai coucher exprès avec lui pour que l'autre connard sache que je ne rigole pas, jamais.

Je vais dans ma chambre et ferme à clés.

Je m'allonge et je regarde le palond.

Je me sens vide.

J'ai besoin d'un shoot d'adrénaline.

Je suis clean..

Je ne peux pas.

Et puis merde..

J'enfonce l'aiguille dans mon bras gauche, l'extase.

Je me suis piquer au moins 10 fois.

KATHERINA GUSEVA ~SAISON 1,5~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant