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Anastasia Rossi

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Anastasia Rossi

Mardi 4 juin, Caen

Ce matin nous n'avons pas fait grand chose étant donné qu'on doit prendre un train en fin d'après-midi en direction de Paris pour d'abord passer chez moi et rejoindre les autres à notre lieu de rdv à minuit. On a donc profiter pour dormir jusqu'à tard avant de passer le reste de notre temps ensemble.

Il est actuellement 15h30, je suis dans le salon en train de refermer ma valise que j'avais un peu éparpillée depuis mon arrivée tandis que Pierre fais de même dans la chambre. Quand j'ai fini le le rejoint sur le lit, il est assis en tailleur avec ses vêtement à côté de lui et sa valise au sol à ses pieds.

— Il est beau le pull là.

— Va falloir que t'arrêtes de toujours vouloir voler mes pulls toi !

— C'est dans le contrat en te mettant avec moi. Dis-je en haussant les épaules.

— En plus ils te vont dix fois trop grand.

— Ça fait oversize et puis t'en a pleins tu peux bien m'en prêter un, je dis en lui faisant les yeux doux.

— Te prêter ? On sait très bien que je vais jamais le revoir, me réponds Pierre en me souriant.

— S'il s'égare dans mes affaires c'est pas de ma faute, dis-je en haussant les épaules avec un petit sourire sur les lèvres. Par contre tu plies tout ça n'importe comment c'est pas possible.

— On s'en fou c'est pour la semaine.

— Mais tout va être froisser, t'as jamais appris à plier tes vêtements ou quoi ? Je lui demande en rigolant et en prenant son t-shirt pour le plier correctement.

— C'est toi qui est trop maniaque aussi, me répond-il en me faisant des bisous dans le cou.

— Arrêtes on doit terminer de préparer tes affaires, dis-je en ricanant, en plus ta barbe me chatouille toujours.

— On a un train dans 2 heures, on sera pas en retard. Dit Pierre en continuant ses baisers qui se font plus sensuels.

Je pose son t-shirt dans sa valise et me tourne complètement vers lui. Pierre me regarde en souriant, je m'approche de lui et l'embrasse. On sait tous les deux que nous n'allons pas continuer à ranger, surtout que la plupart de nos affaires sont déjà prêtes.

Notre baiser devient de plus en plus passionné mélangeant nos deux langues, nos respirations sont plus rapides et nos mouvements se font avec plus de hâte. Très vite nos vêtements rejoignent les siens, mal pliés, au sol.

[...]

Après avoir partagé ce moment intime avec Pierre, nous avons un peu traîné dans son lit. Puis nous nous sommes raisonnés à prendre une douche et terminer ce que nous faisions avant, soit ranger. Enfin Pierre a voulu esquiver mais je l'en ai empêcher, qu'est-ce qu'il peut être flemmard quand il s'y met.

The risk - Pierre GarnierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant