Annyeong les ARMY's ! Voilà donc le chapitre bonus de Rap Monster ! Vous avez été nombreux à demander des explications par rapport à son retour et donc ne vous inquiétez pas les réponses à vos questions sont ici ! Le second bonus et la fin alternative viendront plus tard nous sommes pour l'instant en plein dans l'écriture de notre seconde fanfic "Demon Wolf and Light Angel" qui sera bientôt publiée ! Voilà on espère que ce "petit" bonus vous plaira et bonne lecture !
Le noir
C'est la première chose que j'aperçois quand mes yeux fatigués daignent enfin s'ouvrir après un long sommeil. Je ne sais plus où je suis, ce que je fais dans cet endroit si obscur et si étroit. Je toussai en voulant prendre une grande inspiration, une odeur de poussière et de gravier envahit mes narines.
Je ne sais plus ce qu'il s'est passé, je ne me souviens plus de rien en faite. Peut-être que si je me concentre un peu je pourrais me rappeler. Mais comment se concentrer quand une onde de panique grandit en moi lorsque je me rends compte d'une chose.
Mon bras me fait atrocement souffrir. Alors que je tente de bouger mon corps pour me remettre les idées au clair une affreuse douleur envahit mon bras droit tandis que ma tête se mit à tourner violemment par la seule faute de ce mouvement. Bien que mon membre me lance je ne peux pas le bouger entièrement, il est comme bloqué par une montagne qui semble s'être abattue sur moi. Mais qu'est-ce que je fous là !?
Une chose en son temps.
Calme-toi...
Quel est mon nom déjà ? Je fermai les yeux en constatant que même mon prénom ne me revenait pas en mémoire. Ma respiration se fit plus rapide alors que mon cerveau s'était vidé de tout souvenir. Mon regard dériva dans tout l'espace qui m'entourait, cherchant un quelconque indice pour m'aider à faire resurgir en moi des souvenirs des évènements passés.
Je remarquai alors une fente de la longueur de mon bras mais dont la largeur me permettrait à peine de passer ma main. Une sorte de fumée grise stagnait à son entrée et seule la lumière tamisée par l'obscurité de la fumée éclairait mon champ de vision. Mon corps était allongé sur le flanc droit. Je ne pouvais pas me lever, mon bras étant coincé par le bloc. Mes muscles me faisaient souffrir et je sentis du sang séché se décrocher de mes vêtements quand je voulus bouger l'une de mes jambes.
C'est à ce moment que je constatai que ma jambe était elle aussi bloquée sous le béton mais contrairement à mon bras je ne ressentais aucune douleur comme si cette partie de mon corps n'existait plus. Je suis vraiment dans un état pitoyable. Je me remis à tousser à cause de cette poussière qui arrivait à la fois de l'extérieur et de l'intérieur de mon piège de béton.
Mes yeux me piquaient à cause des résidus de cet air souillé par la poussière. J'étais entouré de toutes parts par des blocs de béton encore fumants pour certains. Un énorme morceau me servait de "toit". Un peu penché sur le côté ce rocher s'était écrasé à vingt centimètre de mon corps. Un autre bloc, plus petit, servait de support à mon toit provisoire et m'avait apparemment empêché une mort certaine.
Mais ce rocher au prix de ma vie, m'avait emprisonné le bras. Je dirigeai mon regard vers l'ouverture en face de moi. Quelle horreur, me mettre une issue de secours au bout de mon nez alors que je ne peux même pas bouger mon corps pour me faufiler dehors. Je me demande bien ce que j'ai pu faire de mal dans ma vie pour finir ici, à pourrir dans un piège à rat de taille humaine, à moitié ensanglanté et blessé.
Je dois vraiment avoir été haï dans mes vies antérieures pour mériter un tel châtiment. Mourir seul, sans personne, c'est bien l'une des morts les plus misérables du monde. Mon corps est déjà dans une tombe faite de pierre mais mon esprit n'a tout simplement pas voulu suivre mon enveloppe corporelle qui se dégradait au fil des minutes.
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My Dark (Non Assumée Par Les Auteures)
FanfictionNous avons tout plein de fictions de bien meilleure qualité sur notre compte. Si vous pouvez passer votre chemin et ne pas lire celle-ci, vous sauverez vos yeux, croyez nous. Et RIP à vous si vous voulez quand même lire cette horreur. On est pas gar...