Je lève les yeux au ciel,
Et te vois,
Devine que ce sourire vient de mon paternel,
La douceur protectrice de tes bras autour de moi.
Ne sera jamais partiel.
Un jour, ce sera à moi de prendre soin de toi.Je dors et pourtant,
Je sens tes iris bleus qui m'observent avec passion,
Et l'indescriptible temps,
Ne saurait que renforcer le lien du cordon...Dans ce nouveau monde j'apprends,
Des trahisons aux amitiés,
Et vous, mes parents,
Me protegez de ces nouveautés,
Trop souvent des mirages,
Les hommes s'enlassant vraiment,
J'apprendrai avec courage,
Et sûrement à mes dépends,
Le monde que vous me faites découvrir.
Pourtant, c'est le même qui me fera souffrir.Premier jour sur cette Terre et déjà,
J'aime les gens derrière la fenêtre de l'hôpital.
J'aime voir le monde en idéal.
L'insouciance infantile face au monde qui relève du pugilat...À mes parents
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MAUX D'ENCRE
PuisiUne lame glisse dans un léger frottement sur le vieux papier, abîmé par le temps. L'encre se deverse peu à peu et laisse deviner au fur et à mesure des vas-et-viens incessants de la plume, des lettres... Discrètes dans un premier temps. Puis toujour...