Sous le drapeaux de l'Hexagone,
Les révolutions s'enchainent dans les faubourgs,
Ce peuple qui s'indignent de ces mises à mort,
Complotant le trône,
Ils hurlent les immondes lois monarchiques de toujours,
La Révolution de 89; on en parlera pas comme de l'or.
Dans les livres d'Histoire,
On lit des pages entières,
Sur les corps des soldats,
Morts dans une rue dérisoire.
Le sang se verse sur cette Terre,
L'Hexagone assiste à la révolte du prolétariat.
Blanc rouge et bleu,
Symbole d'un jour nouveau,
Comme si 200 ans plus tard,
Le président écoutait le peuple malheureux,
Accusant les taux du chômage toujours plus hauts,
Et les mensonges des médias, ces charognards!
Les français se crient insultés,
Par un con qui joue avec eux comme un échéquier.
L'Hexagone a bien changé,
Depuis; les congés payés,
Mais on oublie bien souvent,
Que le Ricard est encore dans le vent.
Les rues emplies d'hommes perdus,
La pauvreté n'est pas une époque déchue.
Prise de la bastille, guillautine,
On brûle comme on assassine,
Boulversement social,
Bataille crucial,
Plus d'idéalisme, ni de christianisme.
L'Hexagone se refait sous les coups des glaives...
14 juillet 1789, on renverse l'Histoire,
À croire qu'un pays neuf serait plus beau à voir!
Formes politiques nouvelles,
Droit de l'Homme en règle,
On s'en tire en 1799,
Finis d'être traités comme des boeufs,
Plus de bluff.
Révolution en Hexagone,
Pour ceux ne supportant plus d'être bridés,
Ou manipulés comme des pions.
Des hommes armés de pioches, fourches et autres bricoles,
Ça fait moins moches;
Devant ils ont des fusils.
Entré dans les livres d'Histoire,
Ce moment aussi sanglant qu'important.
Liberation d'un peuple,
Liberation de la France.
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MAUX D'ENCRE
PoetryUne lame glisse dans un léger frottement sur le vieux papier, abîmé par le temps. L'encre se deverse peu à peu et laisse deviner au fur et à mesure des vas-et-viens incessants de la plume, des lettres... Discrètes dans un premier temps. Puis toujour...
