Le chrono frappe, et nos coeurs flanches,
Quand le tunel devient une trappe, éclairé par la lumière blanche.
On tombe dans ce songe, et quand j'y songe, ça me terrifie; l'inconnu m' horrifie.Armée de sa fourche, elle arrive.
Sûrement, soudainement.
En comparative;
En train nous renversant.
Nous sommes attachés aux rails,
Vulnérable comme un troupeau de bétail...
Son rire grinçant résonne,
Nous perdons le contrôle.Allez, face à la Mort abandonne,
Plus besoin de jouer un vulguaire rôle.Le chrono s'impatiente; il est l'heure.
Nous cédons à la torpeur...Tic, Tac;
Une seconde qui craque.Je ne suis plus et rien ne change.
Je ne gagne pas au change.
Les morts ont toujours torts,
La vie comme la mort nous ignorent.matheodosantos
(Parce qu'il est l'un des meilleurs écrivains que je connaisse, qui mériterait d'être aussi connu que Jack London ou Agatha Christie)
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MAUX D'ENCRE
PoesiaUne lame glisse dans un léger frottement sur le vieux papier, abîmé par le temps. L'encre se deverse peu à peu et laisse deviner au fur et à mesure des vas-et-viens incessants de la plume, des lettres... Discrètes dans un premier temps. Puis toujour...