J'ai si mal... Mal à l'être humain.
Lorsque j'accorde ma confiance, aussitôt on la brise, la chiffone tel un vieux morceaux de papier.
Je vous jure, j'ai tellement mal!
Je ne suis qu'une gamine aux mots bien innofensifs, à la vie emplie de rature, comme des fautes faites au stylo.
Ils me trouvent chiante et agaçante, mais surtout trop différente,
Je ne leur ai rien demander, à part peut-être le respect...
Le regret de m'appercevoir qu'ils préfèrent l'humiliation, à l'acceptation...
Je suis sûrement bien trop naïve,
Croire qu'un jour j'en ferai une force.
Mais pour l'instant, c'est ma différence qui m'ammène à l'incompréhension totale que les autres porte sur moi.
C'est moi qu'ils ont désigner comme bélier, un simple bouc émissaire face aux insultes.
Mais puisque je souris tous les jours, je vais bien non?
Ou peut-être ce même sourire ne serait qu'une armure... Qui cache les blessures, qui se rouvrent tous les jours, qui se réinfectent tous les jours, et qui s'aggravent, tous les jours.
Parfois, je m'imagine un monde où j'aurais ma place. Mais ce monde-là n'est que fictif, ça n'est pas près de changer...
C'est triste de devoir jouer à qui sera le plus fort pour avoir le "droit" de posséder sa propre place... ou le plus fourbe.
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MAUX D'ENCRE
PoesíaUne lame glisse dans un léger frottement sur le vieux papier, abîmé par le temps. L'encre se deverse peu à peu et laisse deviner au fur et à mesure des vas-et-viens incessants de la plume, des lettres... Discrètes dans un premier temps. Puis toujour...
