Un coup de crayon,
Pour rire des religions,
Un autre coup de crayon,
Pour hurler ses émotions...
Un coup de crayon,
À en perdre la raison.Je n'ai pas à m'excuser,
Pour un texte parfois raté;
J'aime mon crayon ombragé,
Qui me parle d'idées passionnées...Ce petit crayon,
Dont un rien l'assomme,
Mais en somme;
Il repense au proverbe du forgeron.
Alors il forge,
Il tente, se brûle, recommence.
Alors il forge et continue de tenter, se brûler.
Peu à peu, ça prend forme,
Hors norme, difforme,
Il continue de forger.Alors j'écris, pour soulager mes entrailles,
Parce que je connais mes batailles,
Peut-être ne suis-je pas de taille,
Ne suis pas les rails,
Pourtant, je me consacre à mon idéal...Pas besoin d'école pour comprendre qu'il n'y a pas de codes.
Allez, viens avec moi qu'on rigole!
Il est comment ton crayon à toi?
Tu sens cette odeur d'encre?
Elle se manie à la forme des courbures des mots, tes mots choisis avec instincts...
Et attention.
Allez, viens on hurle à la voix encrée!
Oublions les rimes,
C'est toi qui donne le rythme!
Oublie les syllabes,
C'est toi qui mènes la danse!

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MAUX D'ENCRE
PoesíaUne lame glisse dans un léger frottement sur le vieux papier, abîmé par le temps. L'encre se deverse peu à peu et laisse deviner au fur et à mesure des vas-et-viens incessants de la plume, des lettres... Discrètes dans un premier temps. Puis toujour...