Sous les regards oppressant des ombres nocturnes,
Je me confie à la lune.Je n'en peux plus;
J'aimerais rencontrer l'inconnu.Derrières les montagnes de glace,
Et je suis encore assise en classe.Perte de temps, d'envie.
J'envie ceux qui connaissent la pluie.Sous un toit, chauffage et lit,
Je m'ennuie dans cette monotonie.Chère lune, dis-moi,
Que vois-tu de chez toi?Le béton s'empare des paysages,
L'homme aurait-il peut de la nature sauvage?!Perdue dans mes nuits d'insomniaque,
Je refais le monde maniaque.Allez, encore une fois j'essaie,
De moins souffrir que la veille.
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MAUX D'ENCRE
PoetryUne lame glisse dans un léger frottement sur le vieux papier, abîmé par le temps. L'encre se deverse peu à peu et laisse deviner au fur et à mesure des vas-et-viens incessants de la plume, des lettres... Discrètes dans un premier temps. Puis toujour...