Toim;
La combiniaison parfait de nous.
Toi & Moi;
L'iraisonnable insouciant de deux jeunes fous.Je t'ai aimé, c'est vrai.
Alors je me suis échappée aussitôt.
Nos coeurs en tombeaux;
Écorchés, en lambeaux.
Je t'ai aimé, jamais je ne le nierai.Quand j'ai appris tes veines,
Quand j'ai vu le sang sur ta lame,
Giclant comme l'eau d'une fontaines,
J'ai imploré; "Que l'on me condamne".
Je suis revenue, et tu es partis.
J'ai enfin atteri; tu t'es envolé.
Je t'ai aimé à m'en détester,
Tu m'as aimée à t'en tuer.Toim;
Tout résonne encore si fort.
Seuls les morts ont tort;
Fuir le dangereux or,
Échapper au confort,
De deux corps entrelassés;
Je crois que j'ai tort,
De mourir pour un mort,
D'aimer un amant,
Et pourtant;
Je me jette dans la gueule du loup comme dans le néant.
Je m'y jette comme un enfant qui croit vraiment,
Les conneries des grands...Toim;
Par-delà les bannières,
Toi & Moi;
Banissant toute idée de frontière.
Toim.L'âme du mort de l'âme moure.
À la mort à la moure

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MAUX D'ENCRE
PoésieUne lame glisse dans un léger frottement sur le vieux papier, abîmé par le temps. L'encre se deverse peu à peu et laisse deviner au fur et à mesure des vas-et-viens incessants de la plume, des lettres... Discrètes dans un premier temps. Puis toujour...