130 - Oui... Maître

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Il prit un temps incroyablement long à la regarder agenouillée devant lui, la tête baissée, respirant profondément sans oser faire un geste. Elle attendit patiemment, souriant de le sentir si ému. S'il voulait la dominer, il allait devoir passer par-dessus cette émotion pour pouvoir jouer.

Soudain, il murmura, pas encore très sûr de lui, mais d'une voix si rauque que Cassie sentit que même sans la toucher, il était sur le poing de jouir. Elle n'aurait qu'à le frôler pour que sa semence inonde son short.


- Va chercher nos jouets préférés !


Cassie fit mine de se lever, lorsque Tony gronda :


- A genoux !


Cassie sans marquer un seul mouvement de recul ou une seule hésitation, se dirigea vers les escaliers et grimpa les marches à quatre pattes, elle revint en tenant un sac en plastique entre ses dents et redescendit les escaliers à reculons. Elle s'approcha de lui et déposa le sac à ses pieds.


- Sors les menottes et enferme ton poignet gauche.


Elle s'exécuta immédiatement, presque aussi impatiente et excitée que lui.


- Grimpe sur la table.


Toujours obéissante, Cassie se releva et grimpa d'abord sur la chaise puis sur la table en s'asseyant en face de Tony.


- Retourne-toi, mets-toi à quatre pattes en me tournant le dos. Offre-moi la vue sur tes fesses, ta chatte, tes lèvres, ta mouille, bordel, t'es aussi excitée que moi, tu luis.


Tony se leva rapidement et alla chercher un coussin sur le canapé qu'il posa au milieu de la table. Puis il reprit sa place, son visage à la hauteur des fesses de Cassie.


- Pose ton visage sur le coussin et place tes mains dans le dos.


Cassie obéit. Tony se leva et s'approcha d'elle qui couina en sentant son sexe contre elle. Il lui attrapa les mains et les attacha l'une à l'autre. Il lui saisit ses cuisses et obligea Cassie à reculer jusqu'à ce que sa fente soit à porter de langue.


- Tu as le droit de hurler, de crier, mais tu as l'interdiction de bouger, c'est compris ! Je ne te tiendrai pas, mais je refuse que tu t'éloignes de ma bouche.


Cassie hocha la tête, alors qu'Tony tonna :


- Réponds !

- Oui, maître. Je ne bougerai pas, je crierai pour toi, je hurlerai et je jouirai quand tu m'y autoriseras.

- Ça... tu n'es pas prête à jouir ! Tu me supplieras ?

- Seulement si mon maître m'y autorise.

- Oui, tu en as le droit. Jusqu'à ta première jouissance, après plus un mot, que des cris, compris !

- Oui, maître.


Tony la regarda intensément, avec une telle envie qu'il avait vraiment du mal à tenir son rôle. Jamais encore il n'avait dominé sa partenaire pareillement. Son plaisir augmentait au fil des paroles prononcées par Cassie qui semblait réellement prendre du plaisir à se soumettre.

Amis ? Amants ? Ennemis ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant