Amis ? Amants ? Ennemis ?

28 - Organisons-nous

Sans plus attendre, elle se pendit à son cou, l'obligea à se coucher sur le dos et vint l'embrasser tendrement. Elle pouvait enfin le découvrir lui aussi.

Elle avait senti sa fougue et ses envies. Elle avait frissonné sous ses caresses, elle avait crié sous ses à-coups répétés mais jamais elle n'avait pu se délecter et l'admirer. Ses mains lui touchèrent les épaules et descendirent sur le torse, sa bouche s'amusa avec ses tétons qui durcirent immédiatement. Son corps glissait sur le sien. Elle sentait leur sexe s'impatienter mais elle avait vraiment envie de le déguster. De l'admirer.

Ses mains redessinèrent les muscles de ses abdominaux, chatouillèrent son nombril, vinrent frôler la base de son sexe fièrement redresser.

Elle sourit. Tout son corps était beau. De sa musculature qui n'était pas trop grosse, mais qui lui donnait une allure athlétique, à ses attributs intimes qui étaient parfaitement proportionnés et avec qui il savait parfaitement en jouer pour la rendre dingue. Sans oublier évidemment son sourire charmeur et ses yeux ravageurs. Elle se surprit à l'admirer entièrement, sa main posée sur son sexe, alors qu'il attendait ses caresses. Elle l'admirait dans son ensemble, sans plus trop s'activer autour de lui. Il s'impatienta légèrement et fit tressauter son sexe, ce qui la ramena vers lui. Elle poursuivit ses gestes sur ses cuisses, alors qu'il la supplia :

- Viens sur moi, je veux te sentir partout autour de moi.

Elle releva le visage, croisa son regard et sans plus le lâcher, elle s'approcha. Elle posa un genou de chaque côté de son corps et glissa son pénis près de son intimité. Ils se trouvèrent facilement, il la pénétra doucement, profondément. Elle s'allongea entièrement sur lui, vint partager quelques baisers en faisant quelques mouvements de va-et-vient puis, elle se redressa et accéléra ses gestes. Il l'accompagna, ondulant du bassin, la pénétrant toujours plus profondément. L'aidant à garder le rythme, il lui tint les mains et la maintenait parfaitement droite sur lui, alors qu'elle se sentait faiblir.

Il se redressa, et la garda contre lui, assise sur lui quelques minutes, provoquant des gémissements intenses chez elle. Elle plaqua sa bouche contre son épaule, alors qu'il lui glissa au creux de l'oreille :

- Laisse-toi aller, je veux t'entendre, crie ton plaisir.

- Ahhhh, Tony... je vais...

- Oui, ma belle... Laisse-toi aller.

Tony accéléra encore le rythme, en plaquant ses mains sur les fesses de Cassie pour l'honorer entièrement. Il glissa un doigt dans sa raie et lui caressa tendrement cet interstice. Cassie se laissa envahir par la jouissance en un cri aigu et relâcha entièrement son corps pour s'affaler dans les bras de Tony. Ce dernier attendit quelques minutes en l'embrassant tendrement dans le cou, sur l'épaule, près de sa poitrine.

Sa respiration était saccadée, sa nuque transpirante, ses muscles endoloris, ses paupières lourdes. Elle parvenait à peine à avaler les quelques gouttes de salives qui peinait à humidifier sa bouche. Tony lui demanda si elle était bien. Elle fut incapable de répondre et se contenta de hocher la tête. 

Il la laissa reprendre doucement pied dans la réalité, puis repris doucement ses caresses le long de son dos, tout en bougeant lentement son bassin contre celui de Cassie. Elle gémit de surprise, se crispa également une première fois, puis se détendit et le laissa lui faire l'amour comme il en avait envie, la recouchant sur le dos, la pénétrant lentement, puis de plus en plus vite, lui malaxant son petit bouton d'amour lorsqu'il approchait sa main. Il lui releva les jambes, s'agenouilla entre ses cuisses et accéléra ses coups de butoir.