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bîsmi llah ar-rahman ar-rahîm
salamu’alaykoum,

Première étape je …… La fait rire 
Si je suis drôle elle m’aimera plus, si on partage des moments ensemble on peut se rapprocher et puis elle trouvera pas ça suspect, ce qui m’arrange si je vois que ça marche alors je pourrais me lancer.
#Dans la peau de Hasna# 
Souley : Hasna ça y’est t’es foutue ! Faut assumer ce que tu dis
C‘est là qu’il s’est approché de moi et…
Il m’a porté comme un sac a patate, il fait quoi ce fou ? Il a marché calmement vers la salle de bain pendant que je me debattais comme une mahboua (folle). 
Souley : Alors t’es sur ? Je ne suis pas beau ? T’es sur ?
Moi : Bah, euh oui, enfin je t’avais dit quoi tout à l’heure déjà ? 
Je n’aurais jamais dû dire ça. Il m’a posé dans la baignoire et a commencé à m’arroser d’eau gelée. Je criais comme une hystérique c’était trop froid. 
Moi : Arrête Souley aaaaaaaaaa 
Souley : Faut assumer ce que tu dis ma cocotte MDRR.
Moi : Non c’est bon arrête aaaaaaaaa 
Souley : Bah dit que je suis le plus beau d’abord. 
Moi : C’est haram (interdit) de mentir !! Arrête. 
Il a continué à m’arroser en riant ce fou, il était mort de rire. En plus de ça je voyais l’eau marron Oh NON, ma couleur. 
Souley : Allé dit que je suis le plus beau MDRR
A cet instant j’eue une idée assez diabolique haha. Rira bien qui rira le dernier cher Souley
Moi : Ok, Ok, je te le dit mais arrête. 
Souley : Tu dis d’abord. 
Moi : Mmm oui t’est le plus beau aide moi à me lever 
Souley : bah tu voies quand tu veux
Il a baissé le jet de douche et m’a aider à me lever. Je suis sorti du bac de douche, lorsque j’ai vu mon état dans le miroir j’avais encore plus envie de venger. Il était mort de rire, limite il était par terre, il se moquait vraiment de moi. 
Souley : MDRRRRRRRRRRRR OUHOUHOU. Tu…MDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR. 

Pendant qu’il riait comme un malade mentale, j’ai pris discrètement le pot de brosse à dent l’ai remplie d’eau froide, bon ok c’était tout petit mais bon c’était soit ça soit mes mains. Je l’ai donc remplie d’eau froide puis lui ai jeté le contenue au visage. Il s’est arrêté net de rire et m’a regardé surpris, il ne devait rien comprendre à ce qu’il se passait. 
Souley : Tu vas pas assumer. 
Il a pris le jet et m’a arrosé et je faisais de même avec mon verre tout petit. Lui recevait que des petits jets d’eau alors que moi j’avais le droit à une douche. On riait comme des gros gamins, j’ai eu de la chance que les petits soient vraiment fatigués et qu’ils n’entendent rien. Il ne voulait pas arrêté alors que j’avais déjà abandonner. 
Moi : C’est bon Souleyman, c’est bon 
Souley : Dis-moi pardon d’abord 
Moi : Tu rêves. 
Souley : Alors j’arrête pas MDR. 
Il ne voulait pas arrêté, j’ai vu la porte de la salle de bain ouverte. Qu’est-ce que je suis bêtes, je n’ai même pas pensé à m’enfuir. J’ai voulu courir mais maladroite comme je suis, j’ai glissé. VLAM. Je me suis retrouvé assise par terre sur les fesses, je ne savais même pas comment je m’étais retrouvé assise.
Souley : MDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR
Moi : T’es méchant tu te moque de moi. Pour la peine je boude –tête de boudeuse-
Souley : MDRRR… Non Nana boude ……..MDRR……pas !! 
Moi :…
Il a continué à rigolé pendant au moins 2 minutes sans s’arrêter, il était vraiment mort de rire. En même temps j’aurais fait la même, j’étais la assise autour de plein d’eau toute trempé, les cheveux dans tous les sens, le contour des yeux remplis de noir. J’étais vraiment horrible et tout ça à cause de lui. Lorsqu’il a arrêté de rire il est venu en face moi et s’est abaissé à ma hauteur
Souley : Tu boude encore Nana ? 
Moi : …..
Souley : Tu peux pas faire la boude au plus beau de la maison.
Moi : ….
Souley : Excuse-moi, mais MDRR tu t’es mangée. Ça va tu n’as rien de cassé ? MDRR 
Moi :……
Souley : Allez pardonne moi s’il te plait Nana. – tête de d’habitude, chat botté.- 
Je ne pouvais pas résister mais là il fallait que je lui montre que j’étais énervé et puis plus je boudais plus il faisait attention à moi. Je me suis levé mais j’avais trop mal à la cuisse, j’essayais de gardé l’équilibre et d’avancer tant bien que mal. J’ai donc avancé tout doucement quand j’ai senti les bras musclé de Souley me porter comme une princesse *♥*. 
Moi : Lâche-moi s’il te plait. 
Souley : Ah, tu reparle MDRR. Non je vais te raccompagner dans ta chambre. 
Je n’ai plus reparlé à vrai dire le trajet de la salle de bain à ma chambre était seulement de quelque secondes. Il m’a déposé sur la chaise de ma coiffeuse pour ne pas mouiller mon lit. Cette situation me rappelait la fois où j’étais tombé à cause de lui de la balançoire et qu’il m’a portée de la même manière. 
Souley : Tu t’en rappelle quand je t’avais porté dans le sud quand t’étais tombée de la balançoire ? 
woua on a eu la même pensé. Je voulais continuer à bouder mais je n’ai pas réussie. J’ai souri et me suis mise à rire.
Moi : Ouais c’était une sacré chute. 
Souley : MDRR comme là. T’es vraiment maladroite Nana.
Moi : Je te rappelle que les deux fois c’est à cause de toi que je suis tombée. 
Souley : Ouais mais heureusement que y avait mes bras musclés pour te porter.
Moi : C’était le moins que tu pouvais faire, c’était quand même de ta faute. 
Souley : Bon d’accord, d’accord mais avoue que je suis musclé. 
Moi : Mouais si tu le dit. 
Souley : Si je le dit c’est que c’est vrai. 
Moi : Mdrr. 
Souley : T’es mimi quand tu rigole 
Quand il m’a dit ça j’étais toute contente, je l’ai regardé dans les yeux. J’essayais de lire ce qu’il disait mais je n’arrivais pas, en fait moi je le regardais avec des étoiles dans les yeux, des joues rouge. Mais lui son regard était profond. J’ai tourné la tête pour mettre un terme à tout ça, car plus je le regardais plus je tombais amoureuse, et plus je tombais amoureuse plus je souffrais. J’aimais un homme qui lui ne m’aimera sans doute jamais.
Souley : Bon allez bonne nuit Nana. 
Moi : Bonne nuit. 
Souley : Tu veux je te donne ton pyjama ? 
Moi : Euh non c’est bon merci. 
Souley : A demain. 
Il est sorti de ma chambre, Je me suis débrouillé pour me sécher et me changer. J’ai ensuite reprit mon lit en pensant encore et encore à Souley, d’ailleurs mon lit avait son odeur, bizarre non ? Je l’aime trop c’est abuser, qui aurait cru qu’un jour j’aimerais Souleyman a ce point. Juste quand je le voie sourire j’ai des frissons qui parcourent tout le corps. J’étais littéralement accros, ses geste, ses mimiques, ses qualité, ses défauts même ! Ils étaient moindres pour moi. En plus de ça il c’est vrai qu’il était beau et musclé, je n’aimais pas lui dire par gêne, et puis il ne faut pas qu’il prenne encore plus ses aises, monsieur a un ego suffisant. Alalala je l’aime ce Souley.

Elle est partie en me laissant sa famille, ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant