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Bîsmi Llah Ar-Rahman Ar-Rahîm
Salamu’Alaykoum,




Mais bon toutes les bonnes choses ont une fin, cette journée aussi, et demain retour à la maison, retour vers mes bébés d’amours et mon quotidien. Souley se montrai un tantinet plus agréable j’espérais qu’il le reste une fois de retour à la maison, en sera-t-il le cas ? Seul l’avenir me le dira.

Le lendemain on s’est réveillé et on a direct pris la route, comme vous me connaissez pendant toute la route j’ai dormis et oui je déteste regarder la route longtemps. Nous sommes arrivé et après avoir déposé les deux fous chez eux on est partit récupérer les petits.

Amir : PAPAAAAAAA ! 

Amira : Nanaaaaaaaa ! 

On les a direct pris dans nos bras, c’est fou ce que c’est petits m’avait manquée, je les aime tellement. J’ai aussi vue mes parents et Yassine et bien évidemment je leur ai donné leur petits souvenir de vacance, ils étaient content surtout ma mère qui regardait mon « couple » d’un œil tendre. Maman ce n’est pas ce que tu imagines, c’est seulement de la comédie, une mise en scène vient chez moi et tu pourras ressentir voir le faussé gigantesque juste entre nos chambres. 

Nous avons dîné passer l’après-midi là-bas et on est rentré avec nos petits-bout de chou. La routine s’est réinstallée et je m’ennuyais. Mes bébés grandissaient et les bêtises avec, ils ne cessaient de courir partout et de toucher à tout notamment aux objets important. Plusieurs fois ils ont déchiré des papiers à Souley ce qui m’a valu une réprimande de sa part « surveille les ils touchent à tout là » des choses du styles. En parlant de Souley on ne se parlait plus trop et ça m’énervais, je faisais un maximum d’effort pour qu’il me remarque ne serait-ce que 10 secondes, je m’habillais plus femme pour paraître mature auprès de lui, la maison étais plus propre qu’avant, les enfants (malgré les bêtises) étaient toujours propre et calme. Je perdais patience. Je restais souvent devant une photo, prise en vacances, que j’avais dans mon téléphone. Il m’arrivait de la regardais longtemps sans bouger d’un cil, et oui une vrai loveuse. 

Posé dans mon salon auprès des enfants qui se tapaient dessus, je lisais le nouveau numéro de Gazelle [A liirree !!!] on sonna a la porte. J’ai regardé l’heur et il n’était que 17 heure, Souleyman ne rentrait pas à cette heure-ci, j’ai regardé par le judas et c’était mes « protectrice » j’ai nommé Khalti et Riri (ironie quand tu nous tiens). J’ai ouvert la porte, elles m’ont lancé un « Salam » sec que j’ai rendu souriante et oui même si je ne l’ai porte pas dans mon cœur je me dois d’être poli pour celui qui détient mon cœur . 

Lorsque Khalti a vue SES petits-enfants se battre pour un jouet elle ne sait pas gêner pour commenter suivit de sa gentille fille.

B-m : Et bien on dirait que tu ne gâte pas si bien que cela MES petits-enfants 

B-s : Moi mes enfants ils ne se battent pas pour un jouet ils en n’ont plein

Pfft au lieu de jouer avec SES petits enfants il fallait qu’elle fasse des remarques inutiles, la patience est une vertu mais là je crois que je vais bientôt exploser. Je n’ai pas répliqué et suis seulement partit faire un thé que j’ai posé avec des gâteaux que j’avais fait, elles mangeaient en me regardant avec mépris. J’essayais de faire la conversation mais elles m’ont vite fait comprendre que ça ne servait à rien. Bref je les ai laissées dans la salle pendant que je préparais un diner assez travaillé, pour qu’elles ne puissent rien dire. 

Je me suis occupé de petits et aucunes d’elles m’a proposé son aide. Vers 19 heure Souleyman est rentré et comme d’habitude mon cœur battait à 200 à la minute. J’ai ouvert la porte et quand il a vu sa maman il était très heureux, c’est trop henoune. J’ai fait manger les petits et j’ai ensuite servie le repas. On a mangé et Souleymane m’a dit que c’était « délicieux », mes joues ont virées au rouge voir au violet, j’étais trop gêné. Ma b-f m’a aussi complimenté (hypocrisie) et n’arrêtait pas de me sourire ça se voiyait qu’elles avaient peur de Souleyman ce qui me fit bien rire. Ensuite nous nous sommes installés autour d’un thé à la menthe. 

Riri : Alors voilà mon frère si je suis venu aujourd’hui c’est pour t’inviter à la circoncision de mon fils Wanis. 

Souley : Tu le fait déjà mais il n’est pas trop jeune 

Riri : Bah il est 2 ans et demi c’est l’âge.

Souley : A mon petit bonhomme il grandit hein. 

Riri : ouaii mdrrr. 

Souley : Et vous le faites quand ? 

Riri : Bah je le fait dans ma maison vendredi prochain in cha Allah, le matin on va allez à l’hôpital et le soir j’invite la famille. 

Khalti : Y aura tes tantes et leurs filles, tu sais la fille a Fadila, Saliha ? 

Souley : Ah ouai …. 

Ça se voyait qu’il avait l’air dégouté qu’il y est cette « Saliha » mais c’est qui ? C’est sa cousine il devait l’aimer ? En ce qui me concerne la décision était prise, je n’irais pas à la Tahara de son fils. C’est logique pourquoi me jeter dans la bouche du loup ? Passons, elles sont partit et j’ai ENFIN pus retrouvé le sourire sincère,
Jean de La Bruyère disait : Les visites font toujours plaisir, si ce n'est en arrivant, du moins en partant. 
C’est ce que je pensais ! 
Ensuite j’ai rangé toute la maison pendant qu’il faisait dormir les bébés. A la fin je suis montée dans la chambre des petits et je l’ai vue les regarder. Il avait comme d’habitudes les yeux qui brillaient et un sourire triste. Lorsqu’il ma vue il m’a souri puis est partit dormir en me souhaitant une bonne nuit, il ne se doutait pas que je passer le quart voir la moitié de ma nuit a pensé à lui. 

Une semaine passa j’avais prévenu Hanane de l’invitation et elle m’a aussi conseillé de rester chez moi qu’elle ne « sentais pas » cette soirée. Souley avait pris sa journée et il m’a emmené à la joumou’a. Le rappel fut émouvant enfin de ce que j’ai écouté vue que les petits furent désagréables, quand on est rentré à la maison ils ont continué à sauter partout. A la maison j’ai préparé la tenue de Souleymane alors qu’il allait aidée son beau-frère à aménager la maison.

Il est rentré vers 17 heure et lorsqu’il m’a vue en mode bed3aya, chignon haut, pas lavé les enfants pas préparé il a pété les plombs. 

Souley : Attends là, pourquoi t’est pas encore prête ? 

Moi : Non mais Souley je reste ici avec les petits sinon on va te déranger pour le service. ( mytho)

Souley : Comment ça vous allez me déranger ? Vas y va te préparer je t’attends là

Moi : Non mais…

Souley : Il n’y a pas de non mais. Les gens après ils vont parler et tu sais comment j’aime pas ça, il vont dire quoi ? « Sa femme elle l’accompagne pas, ils se sont embrouillé », j’aime pas quand ça jackte Hasna, Wallah je déteste ça. Donc vas te préparer hambouk. Et ramènes moi les habilles des enfants je vais les habillés.

J’ai pris les enfants je l’ai est vite fait lavé puis lui est ramené avec les habits accordé à ma robe. Quant à moi je suis allé me doucher, j’ai mis une longue robe couleur Lila, c’était en tissue et du col au bas de la poitrine noire avec des broderies en fleur et aussi au bout de la manche(comme sur la photo). J’ai mis un bandeau noir et le voile noir avec un bandeau tressé lilas. Je me suis un peu maquillé (khôl, mascara et gloss nude). Enfin j’ai pris ma djellaba noire et mes ballerines noires. En descendant Amir ne portait pas du Lila mais du vert foncé comme son père, soit il n’y aura que ma chérie Amira qui sera accordé à moi, Souley me concurrençait pour ça et ça m’amusait. 

On a grimpé dans la voiture, la voiture qui me menait vers cette soirée qui s’annonce –selon Hanane- catastrophique, le sera-t-elle pour tous ? Que va-t-il se passer ? La voiture arrivée et le pied posé mon cœur bat à toute allure, par la peur de me voir humilié. Je fais ça pour toi Souleymane…

Elle est partie en me laissant sa famille, ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant