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bîsmi llah ar-rahman ar-rahîm
salamu’alaykoum,

J’en revenais pas, j’étais bien plus que rassuré et je l’aimais encore plus là, j’ai pas pu m’en empêcher je les embrassé, puis il m’a embrasser, s’en est suivi une multitude de baisers, de caresses, je me suis sentie prête, en route pour un petit Souley ou une petite Nana
Souley&Hasna c’est quand même super beau, c’est magique … 
Le lendemain je me suis levée à côté de l’homme de mes rêves, de mon Souley. En y repensant bien Souley est vraiment un homme que toutes les filles aimerais avoir, il est bon, généreux, beau, et pieux. Il était tout ce que j’avais espéré avoir. Je me suis levé avant qu’il se réveille pour lui préparer comme d’habitude son petit déjeuner. 
Il s’est réveiller à son tour puis nous avons petit-déjeuner ensemble, en « namoureux » puis il est partie me laissant avec un joli bisou sur le front ! Après ceux-ci il est parti et je suis retournée à mes activités. Je repensais à ce qu’il s’était passé. J’étais vraiment heureuse, plus rien ne pouvait m’atteindre désormais, je vivais dans un amour sans faille et un bonheur sans petit piques. Ma belle-famille m’appréciait enfin la moitié, Mon mari m’aimait, Mes petits grandissaient en bonne santé. Il n’y avait rien pour me rendre malheureuse. 
Je vivais dans un rêve bleu, je me prenais pour Jasmine et Souley était mon Aladin, quant à Saliha c’était Jafar, Loulou et Riri se partageait le rôle de Iago.
Alors que je rangeais la chambre, notre chambre  , le téléphone fixe sonna. J’ai regardé l’écran et j’ai pu remarquer le numéro de Souley. 
Moi : Allo ? 
Souley : Allo, ça va ? 
Moi : Oui oui et toi ? 
Souley : Oui. Et les petits ?, 
Moi : Bah oui. 
Souley : C’était pour te dire bébé, que je pourrais pas rentré déjeuner. 
Moi : A bon ? Mais pourquoi ? 
Souley : J’ai trop de travaille, Je suis super au retard là. J’ai plein de chose à faire là donc je vais empiéter sur le midi et rentrer un peu tard ce soir d’accord ? 
Moi : Hmm, D’accord mais tu vas manger quoi ? 
Souley : T’inquiète je vais me débrouiller ma chérie ne t’en fait pas. Je vais aller acheter quelque chose. 
Moi : Fallait me dire, je t’aurais fait ta gamelle. 
Souley : Hahaha, ouais j’ y avais pas pensé, ou plutôt oublier. Bah Mehlich (ce n’est pas grave). Bon vas-y je te laisser, le devoir m’appelle haha. 
Moi : Mdrr, Bisous Hayati. 
Souley : Bisous.
Et il a raccroché, il n’allait pas venir manger à midi ? Je n’allais donc pas le voir toute la journée, et en plus de ça il rentrait tard. Il allait aussi rester sans manger et le connaissant il aurait surement faim vu le ventre sur patte qu’il est. Je pourrais lui ramener sa gamelle ? Oui c’est ce que je vais faire. Il en est hors de question que je laisse mon chérie manger les sandwichs de sa cafeteria, que dirons ses collègues « Oh sa femme n’a pas voulu lui faire son casse-croûte ». 
J’ai donc mit mon tablier et j’ai fait un bon petit plat avec mes petites mains. Je ne sais plus ce que j’avais préparé mais comme d’habitude c’était très bon, et oui quand je vous dis que Souley a déteint sur moi ce n’étais pas une blague mdr. Bref j’ai donc finit vers 11 heure mon plat et j’ai habillé les petits ainsi que moi-même et hop direction le quartier de mes parents pour les déposer une petite heure. 

Ma mère : Yeh mes bébés. Ça fait longtemps je vous ai pas vu. 
Les enfants : YEMMA !!
Moi : Salam Yemma, ça va ? 
Ma mère : Non ça va pas !! Comment ça se fait vous venez plus nous voir ? Ça fait depuis je suis venu chez toi on s’est pas vue. 
Moi : Ouais je sais mama smehli (pardon). Mais regarde maintenant safé (c’est bon) je suis là.
Ma mère : Non mais c’est bon, c’est bon. Je boude maintenant tu me parle plus et je te parle plus !! D’habitude tu viens, tu bois le café avec moi, tu m’aide à faire le ménage, tu m’emmène au marché, maintenant khlass c’est bon. 
Moi : Mais non maman, Wallah smehli. Tu sais quoi là je vais donner le déjeuner à Souleyman et on passe l’après-midi que toi et moi saha ? (D’accord). 
Ma mère : Bon, d’accord, d’accord. Je vais appeler Zineb (mère de Souley) pour lui dire qu’elle vient.
Moi : Bah pendant ce temps-là j’y vais maman. 
J’ai filé pour aller vers le bureau de Souley. Je sais où il se trouve, vue que j’avais accompagné Rania le voir un jour. Je me suis garé, déjà pour trouver une place c’était la galère, j’ai dû faire au moins trois fois le tour de la rue en espérant trouver une place, et j’ai enfin trouvé une place mais qui étais à 2 minutes à pied de l’entreprise. Je suis arrivé à l’accueille et la standardiste ma regarder de haut en bas. J’ai pris l’ascenseur puis me suis arrêté au 5eme étage, c’est là où se trouvaient les bureaux de mon petit (grand) mari.
Une fois de plus l’accueil m’a regardé d’une manière froide, cependant j’étais obliger de lui parler pour qu’elle m’indique le bureau de Souleyman. 
Moi : Bonjour. 
Elle : Bonjour. 
Moi : J’aimerais savoir où se trouve le bureau de Souleyman *****. 
Elle : Qui êtes-vous ? 
Moi : Je suis sa femme. 
Elle : La troisième porte à droite
Moi : Merci. 
Je suis donc partie retrouvé la troisième porte à droite, j’ai toqué et il m’a demandé d’entré. Il était tellement beau le nez dans son ordinateur et le stylo dans la bouche. Il n’avait même pas remarqué de j’étais entré et que je le regardais depuis 2 minutes déjà. Ce n’est quand bougeant les yeux pour chercher une feuille qu’il me remarqua. Il était surpris de me voir là et apparemment heureux puisqu’un sourire vint se dessiner sur son visage. 
Souley : Qu’est-ce que tu fais là ? Je pensais qu’on venait me déposer un dossier seulement.
Moi : Et bien je te ramène ton déjeuné 
Souley : Olala fallait pas. Tu t’es dérangé pour rien hobi j’allais prendre un sandwich. 
Moi : A non, non. Comment sa prendre un sandwich ? Je ne sais pas cuisiner ou c’est comment ? 
Souley : MDRR. Approche, Approche. 
Je me suis donc approché de lui et j’ai posé le sac contenant la nourriture sur la table. Il m’a pris par la main puis m’a fait asseoir sur ses genoux.
Souley : Avoue je t’ai manqué, c’est pour ça que tu m’as ramené de quoi manger ? 
Moi : mdrr, à non vraiment pas. Je ne voulais pas que tes collègues croient que tu as une femme qui ne te nourrit pas. 
Souley : mdrr, c’est ça, c’est ça. Je te connais très bien poulette. Je sais que tu es venu parce que je te manquais. 
Moi : Oui tu me manquais………Ou pas ! Mdrrr
Il a commencé à me faire des guilli, je n’arrêtais pas de rire et le suppliais d’arrêté mais rien, rien il ne voulait absolument pas me lâcher. Bref il a enfin daigné me lâcher, je lui ai servie son plat et il m’a demandé de resté avec lui un peu et bien sûr j’ai accepté. On était posé sur le petit canapé de son bureau, lui mangeait et moi je le regardais. 
Souley : Mdrr arrête de me regarder tu vas te bruler les yeux. 
Moi : Je ne te regarde pas. Mdrr
Souley : Ouuu la menteuse. Je sais que tu me regarde petite menteuse. 
Moi : Mdrrr. 
Souley : Et nos bébés ils sont où ? 
il avait dit « Nos bébés ». Comment ça me rendait heureuse que lui-même, même si il sait que je ne suis pas leur vrais mère, m’appelle leur mère. J’étais très heureuse. 
Moi : Ils sont chez ma mère. D’ailleurs elle m’a engueulé haha. Elle m’a dit pourquoi on ne venait plus les voir.
Souley : Mdrrrr. T’a vue on est des beaux gosses, on manque à tout le monde. Bon c’est moi le plus beau. 
Moi : Haha, je pense que c’est plutôt les petits qui leurs manque. 
Il a continué à manger pendant qu’il frimait encore et encore. Alalala je pense que cet homme est le plus gros narcissique du monde, enfin pour plaisanter hein. Je ne savais pas qu’il était comme ça, enfin pas à ce point. Avant que Souley se marie avec ma sœur on le connaissait que de vue, c’était juste Souley du B 28 sans plus, sa mère était l’ami de ma maman mais voilà. On habitait déjà à la cité quand ils sont venus et il me semble que Souley n’avait que 15 ans vue que Rania en avait 13 et moi 11. On a jamais côtoyé ses sœurs, elle était rarement à la cité et bon vue que Rania et moi sommes insociable, enfin qu’on ose pas aller vers les gens, on a jamais fait le premier pas pour leur parler. Souley lui restais en bas des tours, tout en continuant ses études comme Yassine, il restait avec des personnes pieuses, des personnes qui avait un boulot voilà pourquoi il n’a pas déraillé. 
Bref, il a enfin finit de manger. J’ai tout remit dans le sachet. Je lui ai dis que j’allais partir quand monsieur ma attrapé et m’a pris pas la taille. 
Souley : Tu pars déjà ? 
Moi : Oui, j’ai promis à ma mère de passer l’aprèm avec elle. 
Souley : Ooo dommage, tu m’aurais tenu compagnie. 
Moi : Haha, je sais que tu ne peux pas te passer de ma compagnie mon chéri, mais le devoir m’appel. Mdrr
Souley : Mdrr ! T’es belle quand tu rigole hayati en plus comment c’était bon ce que tu as fait 
Moi : ……
Souley : Olalalala c’est Aberrant l’effet que je te fais. Regarde tes joues elles sont rouge, rouge 

C’est vrai que mes joue étais très, très rouge, mais comprenez-moi, le fait qu’il me fasse des compliments me faisait l’effet de millier de papillons qui montent jusqu'à mes joue pour les réchauffer. Il m’a donné un doux bisou et lorsque qu’il me lâcha, à peine 2 seconde après la porte s’ouvrit laissant apparaitre………..

Elle est partie en me laissant sa famille, ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant