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bîsmi llah ar-rahman ar-rahîm
salamu’alaykoum,

Ils étaient moindres pour moi. En plus de ça il c’est vrai qu’il était beau et musclé, je n’aimais pas lui dire par gêne, et puis il ne faut pas qu’il prenne encore plus ses aises, monsieur a un ego suffisant. Alalala je l’aime ce Souley.
Les jours passaient tranquillement et je me rapprochais beaucoup de Souley, on se « chamaillait » plus qu’avant, on passait plus de temps ensemble, il me faisait aussi beaucoup rire. Les petits eux grandissaient ils étaient content d’être chez eux avec leur papa et leur maman, comment j’aime le dire. Chaque soir je faisais dormir les bébés puis quand Souley rentrais on parlait ensemble jusqu'à parfois 4 heure du matin. Je l’aimais plus qu’avant, je voulais lui dire mais comment faire ? Il va se sentir gêné et je sais qu’il n’aimera aucune autre femme que ma sœur. Mais à vrai dire j’espérais que tout ça change en voyant qu’on se rapprochait. 
Souleyman était rentré de son travail et je lui posais son dîner comme d’habitude sauf que ces dernier temps je partageais son dîner. Il s’est assis à table mais il n’avait pas l’air bien. Il était pâle et il avait l’air d’avoir froid vue qu’il m’a demandé de fermé la fenêtre dans la cuisine alors que d’habitude ça ne le dérangeait pas. De plus il ne touchait pas à son assiette. 
Moi : Souley ça va ? 
Souley : Bah ouais pourquoi tu me demande ça ? 
Moi : Bah t’à l’aire pâle et tu manges pas alors que d’habitude tu te ressers. Tu n’aimes pas tu veux je te fasse quelque chose d’autre ? 
Souley : Non, non t’inquiète c’est juste que j’ai pas trop faim. Et je dois avoir pris froid. 
Moi : Bah attend je vais te ramener un Efferalgan. 
Souley : Non, non c’est bon t’inquiète c’est rien mais ça me touche que tu t’inquiètes pour moi haha
Moi : Bah sa serait dommage que tu tombes malade 
Souley : Bah ouais, mais non je ne tomberais pas malade je suis fort moi haha. 
Il à parler trop vite le pauvre. Et oui le lendemain matin je me suis réveillé comme à mon habitude pour faire son petit déjeuner, j’ai attendu une demie heure mais il ne descendait pas je trouvais cela très bizarre lui d’habitude si ponctuel. Il est enfin descendu en pyjama, il avait une tête toute pâle et des cernes qui descendait jusqu’aux joues et puis sa démarche était lente.
Moi : Waa, Souley t’as quoi ? 
Souley : Je suis malade, j’ai pas dormis de la nuit. 
Je me suis rapproché de lui, puis ai touché ses joues. Elles m’ont brûlé les mains, il avait de la fièvre. 
Moi : Olalala tu es brûlant. Retourne au lit. 
Souley : Mais non c’est bon je vais aller travailler ça va passer. 
Moi : Non, on ne rigole pas avec une fièvre pareil. Tu retournes au lit et tu appelles ton patron pour lui dire que t’es malade. 
Souley : A vos ordres chef. Mdrr 
Même son rire était fatigué. Il m’a fait de la peine mon Souleyman comme ça. J’étais déterminée à m’occuper comme il se doit de lui. Bon comme je lui avais ordonné, il est retourné dans son lit rattraper sa nuit. Moi je me suis occupé des enfants comme à mon habitude. C’était dommage car l’un des rares jours était là ils ne pouvaient pas le voir car j’avais peur qu’ils attrapent la maladie. Je faisais des allez retour entre le séjour et la chambre pour voir si il dormait encore. J’en profitais pour mettre un gant imbibé d’eau afin de faire retomber la fièvre. Bref toute la journée s’est passée comme ça, il n’avait pas mangé à midi mais j’ai décidé de lui faire une soupe pour le diner. J’ai mis les petits au lit ils n’avaient pas vue leur père de toute la journée les pauvres. J’ai ensuite pris la soupe dans la chambre de Souley, lui regardait la télé et oui monsieur a le luxe d’avoir une télé alors que moi non. 
Moi : Alors ça va mieux
Souley : Hamd liLlah. J’ai juste chaud, froid, chaud. Le nez bouché. J’ai mal à la tête et j’ai la tête qui tourne.
Moi : Tu dois avoir attrapé la grippe. Regarde je t’ai fait une soupe ça va te faire du bien
Souley : Non merci je ne peux rien avaler 
Moi : Si. Sinon comment tu vas faire pour guérir ? 
Souley : Mais j’ai pas faim 
Moi : Mais c’est de la soupe ça se boit tout seul.
Souley : Bon ok mais tu me donne à manger. 
Moi : Ooo le gros bébé faut bien que tu fasses un effort.
Souley : Mais vas-y tu peux pas refuser cette demande, tu vas donner un manger au plus beau de la maison. 
Moi : Oh mon Dieu que je suis contente –ironique-.
J’ai ri, j’ai pris son bol puis me suis assise près de lui pour lui donner à manger. Franchement la scène était tellement mignonne, il ne manquait que les sentiments. Personnellement ils sont présent, mais puis-je en dire autant pour lui ? Il a l’air de m’apprécier mais je pense que c’est tout. Après tout c’est assez étrange d’aimer le mari de sa sœur qui est maintenant mon mari. Lorsque je lui donnais à manger je bougeais la cuillère comme les bébés. 
Souley : Mais arrête mdrr.
Moi : Une cuillère pour Amir, Un cuillère pour Amira, une cuillère pour Nana et une cuillère pour Souley. 
Souley : Mdrrrr, a ouai je suis un bébé hein ? 
Moi : Aller l’avion il va rentrer dans le garage. 
Souley : Mdrr arrête tu ne vas pas assumer comme la dernière fois. 
Moi : Bah c’est toi tu te comportes comme un petit bébé. 
Souley : A ouais ? T’es sur ? 
Moi : Bah c’est vrai. 
Souley : Bah je boude. 
Moi : Hahahaha tu me recopie. 
Souley : ……
Moi : Bon ok. 
Je lui tendais la cuillère mais il ne voulait pas la prendre il était trop mignon les bras croisé. 
Moi : Excuse-moi Monsieur le plus beau de la maison. 
Souley : Et bah voilà tu voies quand tu veux. 
Il a dès lors rouvert la bouche et j’ai continué à le faire manger. Il a de suite dormit comme un bébé, je voulais rester à son chevet j’ai donc passé ma nuit sur le petit canapé qui se trouvait dans sa chambre. J’ai mis un petit plaide avec un Dourous dans mes écouteur. J’avais réglé mon téléphone pour qu’il vibre tous les heurs afin de voir s’il allait mieux et lui changer son gant. 
Le lendemain matin j’étais vraiment très fatigué, je devais avoir dormis 2 heures en tout, mais bon la force de mon amour a fait que je ne regrettais pas d’avoir gâché ma nuit pour lui. Je lui ai fait un plateau petit-déjeuner mais il dormait encore ce gros. Je me suis donc occupé des petits qui demandaient après leur papa
Amir : Maman, papa ou ? 
Moi : Il est en haut papa. 
Amira : la chambre ? 
Moi : Oui, il a bobo à la tête
Amir : veux voir papa.
Moi : Mais il dodo.
Amira : Non. Veux voir papa –tête de boudeuse olalala c’est de famille-. 
Moi : Bon d’accord on va aller le réveiller. 
Eux : VOUII.
Je l’ai donc pris dans la chambre de leur papa, après tout pour moi leurs désire son des ordres mes petits bouts. On a doucement ouvert la porte et j’ai vue qu’il venait de se réveiller.
Les enfants : PAPAAA !
Souley : Oooo les petits. 
Ils ont courût dans ses bras et il les a bombardé de bisous. c’ést un papa formidable.
Amira : Papa bobo ? 
Souley : Ouais papa malade. 
Amir : Papa mal ou ? 
Souley : Là –en montrant son front-
Amira : Maman fait bisou magique à papa. 
Amir : Vouiii bisou magique
Moi : Mais non c’est bon vous faites bisous à papa. 
Amir : Non toi aussi. 
Ils ont fait un bisou sur le front de leur papa chacun leur tour. 
Souley : Aller à toi Nana. 
Les enfants : Aller bisous magique
Moi : Mais non
Souley : si si moi je t’en avais fait un oublie pas
Moi : Bon d’accord, même si le tien a pas marché 
Je me suis approché de lui sa me faisait plaisir que Souley réclame aussi mon bisous – c’est bon Nana redescend sur terre c’est juste pour faire plaisir à ses enfant-. J’ai approché mes lèvre de son front et lui est posé un délicat bisou sur le front, il avait vraiment le front chaud le pauvre. Je n’ai pas voulu enlevé mes lèvres de son front mais bon il fallait bien que je décolle ma petite bouche sinon il trouvera ça bizarre. Quand je vous raconte l’action elle a l’air d’avoir duré 5 minutes alors que pas du tout le bisou n’a pas dépassé 2 secondes. Les petits étaient satisfaits c’était le principale. 
La journée c’est passé comme la veille sauf que Souley qui allait un peu mieux a décidé de descendre pour nous tenir compagnie. Les petits jouaient près de lui pendant que je faisais les tâches ménagères quotidiennes. Le soir, j’ai fait dormir les petits puis je suis partit donner son diner à Souley dans sa chambre. Il m’a encore demandé de lui donner à manger. A la fin je l’ai couvert pour qu’il dorme. 
Souley : Nana je t’ai vue dormir dans le canapé avec ta tout petite couverture.
Moi : Oui je suis resté là au cas où tu aurais eue besoin de quelque chose 
Souley : Bah pourquoi t’es pas venu dormir près de moi ? 
Moi : Euh non, je …..Je ne voulais pas te déranger.
Souley : Mais tu me dérange pas. Je m’en fous cette nuit tu dors à côté de moi. 
Moi : Non c’est bon, vu que tu vas mieux je vais rejoindre ma chambre. 
Souley : Euh bon ok. 
Moi : Aller dort bonne nuit.
Souley : Toi aussi Nana. 
Attendez dite moi que je rêve ? Il a m’a demandé de dormir à côté de lui là ? Il veut que je le fasse manger, le bisou magique et là il veut que je dorme près de lui. Aaaa comment j’étais trop contente, je m’imaginais mille est une scène dans ma tête. Je suis vraiment trop bête de ne pas avoir accepté ! C’est vraiment aberrant comment je l’aime. Il ne m’est jamais arrivé d’aimer quelqu’un comme cela. Je n’étais jamais sorti avec personne et n’avait aimé personne. J’étais allongé dans mon lit quand je sens qu’on ouvre doucement la porte…..

Elle est partie en me laissant sa famille, ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant