Chapitre 63

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Bonjour,

Avant de commencer ce chapitre, petit message d'intérêt général : toutes ressemblances avec l'histoire Liebe Gefangener (histoire que je vous conseille) n'est que pure coïncidence. Je ne l'ai pas plagié pas plus qu'elle ne m'a plagiée. Merci d'éviter les commentaires allant en ce sens que ce soit sur son histoire ou sur la mienne. C'est déplaisant et stressant pour les auteurs. Nos histoires sont complètement différentes (suffit d'avoir lu les deux au complet pour s'en rendre compte). Puisqu'elles se déroulent toutes deux dans le monde carcéral, en huis-clos, les possibilités sont limitées et il est normal que certains événements ou actions soient ressemblants. C'est comme si vous preniez le temps de venir m'énumérer les ressemblances entre ma trilogie BDSM et n'importe quel autre bouquin BDSM... à un moment... c'est ça, quoi. Même si les intentions sont louables, ça fait plus de mal que de bien.

Je tenais à passer ce message, car l'auteure a reçu des messages allant en ce sens et je n'ose imaginer à quel point cela a pu être stressant pour elle jusqu'à ce que l'on s'explique en MP. Et ça n'a pas non plus été un moment agréable pour moi non plus : qui aime se faire accuser de plagiat, alors que ce n'est pas le cas ? Alors, faites simplement attention à vos commentaires, s'il vous plaît. Dans la plupart des cas, quand vous commentez un truc dans le genre "ça ressemble à...", "ça me fait penser à..." ou "c'est comme...", eh bien, ce n'est pas forcément agréable pour les auteurs, même si vous êtes heureux d'avoir trouvé une ressemblance avec quelque chose que vous aimez. 

Et si vous trouvez un véritable cas de plagiat, dans ce cas, oui, il faut prévenir les auteurs, mais assurez-vous de ne pas crier au plagiat pour rien, ayez terminé les deux histoires avant toute chose et informez-vous avant de créer du stress et de l'inquiétude injustifiés à l'auteur.

Merci et bonne lecture ! 

Chapitre 63.

— Alors, cette journée ?

Isaac releva ses yeux chocolat sur Wilds.

— Ça aurait pu être pire.

— Tu as l'air détendu, lui fit remarquer l'agent du FBI, je pense que cette journée t'a fait du bien. Vous avez fait quoi ?

Le Californien étira les bras au-dessus de sa tête.

— Oh... pas grand-chose. Nous avons déjeuner ensembles, nous sommes allés à la salle de gym pour s'entraîner, puis nous avons terminé dans sa cellule : Chaz a acheté une télévision.

— Un téléviseur ? Ça a dû lui coûter une petite fortune par ici.

Isaac haussa les épaules.

— J'imagine qu'il en a les moyens. Je ne sais seulement pas pourquoi il ne l'a acheté que maintenant.

Wilds soutint son regard quelques secondes, puis pinça les lèvres.

— Je pense qu'il devait avoir de bonnes raisons... Dis-moi, cette journée, ça ressemble quand même un peu à un rencard.

Le Californien manqua de s'étouffer. Ce n'était pas la première fois que son codétenu insinuait une chose pareille. Ça lui faisait le même effet à chaque fois. Il s'emporta :

— Je t'ai déjà dit que ce n'était pas comme ça ! Il n'y a rien entre lui et moi !

— Ça va, ça va... pas besoin de t'énerver comme ça.

Isaac soupira.

— Désolé, murmura-t-il en baissant le regard.

— Ce n'est pas grave. C'est juste que le comportement de Chaz est bizarre... je sais que tu n'aimes pas que je dise ça, mais il agit quand même un peu comme un mec... amoureux.

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