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Pdv: Laura

-Quoi? Arrête de te foutre de moi, Alex! C'est pas le moment.

-Je crois que c'est ni l'endroit ni le moment de parler de ça. Imagine quelqu'un nous entend. Retournons à la maison.

J'acquiesça et le suivi en silence. Dans la voiture, un silence désagréable planait. J'ai sorti mon téléphone et envoya un message à Cam.

"Dis... je crois que j'ai fait de la merde lorsque j'étais transformé. Tu pourrais venir ce week-end? J'en profiterai pour te redonner tes vêtements. Ah et, la police voudras s'en doute te parler."

J'ai refermé mon téléphone, mais une notification apparu au même moment. C'est Camille. Comment elle fait pour écrire aussi vite?

"Quoi? Ça a rapport avec le vampire? Comment ça la police? Sois plus précise!"

"Désolé, mais ça sera mieux en parler face à face avec Alex. Tu pourras rencontrer mes amis. Alors, en fin de semaine?"

Encore une fois sa réponse était instantané.

"Arghh pourquoi tu te la joue comme ça? Je te dis tu es démoniaque! Oui c'est parfait en fin de so. J'espère que c'est pas trop grave. À dans deux jours!"

Je n'ai pas répondu à son message et j'ai remis mes yeux sur la route. Je reconnais le chemin, on arrive dans une minute environ. Nous nous sommes assis dans le salon pour discuter calmement.

Nous restions là à se regarder dans le blanc des yeux sans avoir l'audace de brisé le silence.

-Tu sais... ma mère m'a raconté une légende il y a quelques temps.

Il parti dans un récit de la légende de Shima. À la fin de l'histoire je le questionna.

-Et qu'est-ce que ça a voir avec le fait que j'ai supposément tué mes parents?

-Ma mère m'a dis que sa louve était folle et qu'elle obligeait Shima à faire tout ses massacres. Déclara t'il.

-Et? Où veux-tu en venir? Arrête de tourner autour du pot.

-Ta louve, pendant qu'elle avait le contrôle elle les as tué. 

Ma mâchoire s'ouvrît en grand. Quoi? Je les ai vraiment tué? Mais non, j'aurais souvenir de ça?

-Si tu ne me crois pas, demande à ta louve. Elle ne peux pas mentir sans que tu ne le sache pas.

Nora, c'est vrai? Qu'est-ce que t'as fait?

-Mais je ne te l'ai pas caché pourtant. Tu aurais juste pu fouiller dans mes souvenirs. Après tout, nous sommes là même personne. Je vais te dire comment faire.

Comme proposé, j'accéda au nombreux souvenirs de Nora. Comme une bombe, une multitude d'image naquit en mon esprit. Un cri m'échappa. Je me pris la tête entre les mains en essayant de diminuer mes maux de tête. Des images de forêt, de ruisseaux, notre conversation proche du ruisseau et des animaux mort que je déchiqueta pour me nourrir. Puis environ dix secondes qui me parut des heures j'arrivais enfin à se que je voulais. J'ai pu percevoir ce qu'elle à penser, ressentir et fait.

Flashback

Argh... Je viens d'accéder au souvenir de Laura et se que j'ai appris est horrible! Comment peuvent-ils faire ça à leur propre enfant? Je comprends qu'il ai été attristé par la mort de leur fils, mais ce n'est pas une raison! Il faut qu'ils paie!

Pendant quelques jours, je les ai suivis pour connaître leur habitude. Ça ne m'as pas étonné de voir à quel point leur quotidien était barbant. Non, mais se mec il peux faire autre chose que de soûler en écouté la télé et elle faire autre chose que faire des choses pas catholiques avec des gens qu'elle ne connaît même pas! Vraiment, il mérite de mourir. Même que se sera assez bénéfique pour eux. Plus besoin de vivre cette vie.

Il est 21 heures. C'est le temps d'y aller, je n'ai pas la patience d'attendre plus longtemps. Ils sont dans la cuisine, j'ai sauté dans la fenêtre la brisant en mille morceaux en même temps.

J'ai commencé par la mère, le père est tellement saoul qu'il ne pourra même pas s'enfuir. Il va assisté à ce spectacle avant de mourir lui aussi. Je l'ai mordue à la cheville pour l'immobiliser. Un cri sortie de sa bouche. Ahh elle supplie un loup de l'épargner, elle doit vraiment être désespérée. J'allais m'amuser un peu avec elle, mais quelque chose me fit changé d'avis.

-S'il te plaît Laura! Ce n'est pas toi! Épargne moi! Cria-t'elle.

Comment elle a su que c'est elle? On dis que les personnes de retrouvant face à la mort peuvent faire des choses incroyables. Mais j'ai pas le temps de me posé la question. Son père commence à réagir et s'en allé. Je l'ai attrapé par le cou et lui arracha la jugulaire. Bien fait pour toi tiens.

Son père était proche de la porte. Pourquoi tu t'en va alors que nous avons même pas commencé à jouer ensemble?

Je l'ai regardé dans les yeux. Un regard perçant montrant clairement à quoi je pense. À la mort de cet homme.

Il me pointa du doigt en m'ordonnant de m'assoir. Désolé l'ivrogne, mais je ne suis pas ton toutou que tu peux dresser. Non. Je suis libre moi. J'attrapa le doigt avec celui qui me pointa et l'arracha d'un coup. Du sang gicla abondamment de sa blessure. Il regarde l'endroit où son membres avait disparu en criant.

On peux arrêter de crier s'il vous plaît vous me donnez des migraines!

J'attrapa son chandail et le poussa pour qu'il se retrouve par terre. Bon... la j'ai le temps de m'amuser. J'ai attrapé sa cuisse et les mordu le plus fort que j'ai pu en arrachant de la chair en même temps. Je fis de même avec l'autre cuisse. J'ai mordu chaque centimètres carrés de ses tibias lui arrachant des cris à chaque coup de crocs.

Je l'ai retourné de côté pour lui griffer le dos jusqu'au sang. À chaque coup de griffe un sentiment d'euphorie emplis mon être. Je l'ai tourné encore une fois et ai fait la même chose avec son ventre obèse.

Je commence à me lassé... je vais faire se que je préfère avant de l'achever. J'ai pris ma patte et lui ai rendu c'est yeux en bouillie. J'ai planté mes griffes dans chaque orbite. J'ai fini l'homme de la même manière que la flemme et me suis dirigé vers la porte.

J'ai mordu la poignée et l'ai tourné avec ma gueule. Je me suis dirigé lentement vers la forêt. J'ai besoin d'aller dans de l'eau pour me laver!

J'ai jeté un coup d'œil à une petite fille se tenant a quelques pas de moi. Je m'approchai d'elle doucement sous le regard horrifié de ses parents à dix mètres environ. Ils criaient son nom pour qu'elle revienne près deux, mais elle était obnubilée par moi. Arrivé à sa hauteur je me pencha la tête pour recevoir des caresse de la jeune fille.

J'ai entend des parent appelé la police. Ils faut que j'y aille si je ne veux pas me faire abattre. J'ai licher la joue de la petite fille lui laissant du sang au passage sans faire exprès. Je m'inclina et me dirigea finalement vers la forêt.

Fin flashback

L'âme-sœur complètement briséeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant