avant de commencer : cette fanfiction est en lien avec SAVAGE, une de mes fanfictions déjà écrites. vous n'avez pas besoin de la lire pour comprendre cette histoire mais pour avoir pleins d'infos, c'est mieux :)
𝙰𝚂𝚃𝚁𝙸𝙳 𝙷𝙾𝙲𝙺
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Je payais mon taxi avant de sortir de la voiture et de tirer du coffre mon bagage. Vraiment, y avait pas pire comme pays que l'Allemagne. Pas de plage, mauvais temps, langue bizarre, je me demandais vraiment ce que je foutais là. Seul point positif, j'allais voir ma cousine et ses gosses.
Je venais de terminer mes études juste avant les vacances et je comptais profiter deux mois chez elle. Honnêtement, c'était la seule de ma famille que j'appréciais un minimum parce-que ce sont presque tous des enculés. Déjà rien que l'histoire de ma cousine donnait envie de vomir à n'importe qui.
À peine j'allais sonner que la portail s'ouvrait d'un coup et quelqu'un me sautait dessus.
-- Oh putain Astrid ! Ça fait tellement longtemps ! Tu es toute hermosa. souriait-elle en se décalant un peu pour toucher du bout des doigts mes pointes brunes.
Ma cousine n'avait rien perdu de son espagnol.
- Tu m'as manqué Camille, je suis trop contente d'être là !
Camille - Moi aussi ! Lola n'attendait que ton arrivée, je sens qu'on va rendre fou Lucas. rigolait-elle avant d'enrouler son bras autour de mes épaules. Allez viens entre, je dois te faire visiter !
Camille Hernandez Hock était ma cousine directe, son père était mon oncle et le mien était le sien. J'avais toujours eu une relation privilégiée avec elle, on s'entendait depuis petites et on était vraiment deux petites pestes à l'ancienne avec Andrea. Enfin, jusqu'à ce qu'elle monte au ciel. Ça avait été un énorme choc pour moi quand ma mère m'avait pris à part pour me parler en face.
Je n'avais pas pu appeler Camille, apparemment ses parents lui avaient interdits de sortir, que c'était de sa faute si sa sœur avait été tué alors que pas du tout.
Camille c'était comme mon modèle un peu, elle était forte depuis qu'elle était petite et je ne me rendais pas compte de tout ce qu'elle avait pu vivre au court de sa vie. Mais maintenant, elle était heureuse avec son mari et je ne pouvais lui souhaiter que ça.
Kendro - LÉLÉ !
J'ouvrais mes bras en grand devant mon petit cousin avant de le prendre contre moi. Je kiffais ce petit.
- Mon petit amour, ça va ?
Kendro - Oui ! J'attendais que t'arrives. Maman nous avait dit qu'on devait faire treize dodos avant que tu sois à la maison !
Camille - Une vraie pile électrique. souriait-elle en ébouriffant les cheveux légèrement bouclés de son fils. Aleyna et Lola sont à la sieste, elles ont fait un jogging avec leur père ce matin et il les a claqué.
