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🌟LucyJeudi 20 Août, 18 heures 30

Ce n'est rien Lucy, dans tout les cas, tu le savais, qu'un moment ou un autre, tu allais quitter la maison, peut – être que pour papa et maman s'étaient un peu trop soudain, mais tu dois avancer.

— Mais tu n'as même pas un peu écouter ta mère ? me demanda ma grand – mère assise dans son fauteuil, oh Lucy, les médicaments s'il te plait ma chérie.

— Non, je ne voulais même pas l'écouter, elle me ment depuis le début alors pourquoi écouter une menteuse pareille ? pris – je les médicaments pour les préparer, tu as encore tout ce qu'il faut ou je dois aller t'en chercher demain ?

— Lucy, tu t'en fais trop pour moi, je vais... Ouh, ouh, toussa – t – elle à plein poumon.

— Tu peux faire croire ça à qui tu veux, mais pas à moi, lui tapé – je un peu le dos, ça va mieux ? Tu veux de l'eau ? Tiens, tes médicaments, lui tendis – je le petit plateau, bon, pas de médicaments, des courses peut – être ?

— Tu dis ne pas être comme ta mère, mais elle a été comme toi à une époque, me fit remarquer ma grand – mère, elle s'inquiétait beaucoup pour moi et était souvent à la maison, m'avoua – t – elle.

— Je n'ai rien à voir avec maman, chuchoté – je en rouspétant, maman t'a abandonné, ne l'oublie pas, lui dis – je remarquer.

— Par contre là, je ne peux nier le contraire, tu es comme ton grand – père, tu ne crois que ce que tu veux croire, tu te fais ta propre réalité sans prendre en compte celle des autres, soupira – t – elle, mais d'un point de vue, ce n'est pas plus mal, au moins comme ça, tu ne souffres pas.

Tu crois réellement ? Tu penses réellement que croire à ma propre réalité me fait du bien ? Je dirais plutôt que je prends en compte deux réalités, et celle qui me fait le moins souffrir est celle qui fait ma réalité... On dirait le raisonnement d'une gamine de 5 ans quand je pense cela...

Je n'ai pas fait plus attention à ça, je suis retournée dans la cuisine, avant de m'accouder au plan de travail pour répondre à un message sur mon téléphone.

— Ouais Camille ? l'appelé – je.

— Putain meuf, tu sais quoi ? Les nouveaux ne sont plus là ! s'exclama – t – elle.

— Je suis déjà au courant, merci Camille, soupiré – je.

— Ah bon ? Ah ! Oui, c'est vrai que tu as crécher chez eux pendant un moment, se moqua – t – elle gentiment de moi, et alors comment c'était ? Tu as réussi à mettre au moins Grey dans ton lit ? me taquina – t – elle.

— Ah, ah, ah très drôle... Je ne sors plus avec Grey, et puis... Je n'ai jamais réellement aimer Grey....

Je n'étais que sous l'emprise d'un charme pour m'empêcher de développer des sentiments encore plus puissants pour Natsu, rien de plus...

— Bon, pas Grey alors... Et Natsu ? Hein ? Entre Grey et Natsu, Natsu serait mieux dans ton lit, non ?

Mes joues sont devenues rouges, sans même que je comprenne pourquoi. Rien que le fait de l'imaginer dans mon lit, blottie à lui, me faisait exprimer tellement de sensation.

Mais mes joues sont devenues encore plus rouges à l'instant où j'ai repensé à ce qu'il s'était passé dans la petite cabane, quand j'étais sur le point de l'embrasser et que nous avions, presque, partager le même lit.

Moi, Sorcière de ta vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant