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🌟LucyJour 11, Vers 11 heures

Il n'était nul part, je l'avais perdu en dehors de la maison. Je suis revenue sur mes pas, mais rien à faire, il n'était nul part, c'était comme s'il s'est envolé, quelqu'un a dû me le ramasser, je ne vois que ça, mais qui ?

— Eh, eh... La poupée de chiffon aurait perdu quelque chose ?

Il ne m'a fallu que quelques secondes pour reconnaître cette voix si familière à mes oreilles.

— Natsu, c'est toi ? relevé - je le regard vers les toits des maisons juste à côté de moi.

— J'aimerai bien savoir comment tu peux connaître mon nom, ricana - t - il.

— Tu sais quelque chose ?

J'étais encore une fois surprise de le voir, je n'aurais jamais penser le croiser, mais on dirait que le destin a décidé que nous réussir encore une fois, contre nos grés, pourquoi ?

— Qui sait, peut - être ! sauta - t - il sur un autre toit.

— Eh ! Natsu ! Attends ! m'exclamé - je levant la main vers le ciel comme pour l'empêcher de partir.

— C'est ça que tu cherches, avoue, me montra - t - il mon collier emmêlé dans sa main droite.

— Mon collier ! dis - je surprise de le voir.

— Ah, ah, j'avais vu juste, s'enfuit - il.

— Natsu ! Non ! Rends - moi ça ! C'est à moi ! le poursuis - je.

Je n'arrive toujours pas à y croire, il a pris mon collier, et cerise sur le gâteau... C'est qu'il me nargue avec ça !  

J'ai été obligé de le suivre jusque dans la forêt, on dirait bien que c'est notre lieu de prédilection pour nous rencontrer, je n'ai pas dû courir trop longtemps, il s'arrêta près du lac le plus proche avant de se poser sur un rocher pour observer plus attentivement le collier.

Je suis arrivée que quelque seconde après lui, totalement essoufflée, je respirais tellement fort que j'ai cru que j'allais mourir, à l'instant où mon souffle reprit un rythme normal, j'ai pu me redresser correctement, pour prendre l'air le plus sérieux possible avec lui.

— Rends - le moi, lui ordonné - je un regard noir.

— Oh, tu sors les griffes aujourd'hui ? ne tourna - t - il même pas le regard vers moi.

— Mes grippes sont toujours prêtes à attaquer dans les moments où je juge que je dois les sortir, lui avoué - je m'approchant le plus doucement de lui.

— Il doit avoir une certaine valeur sentimentale si tu me réponds ainsi, en déduit - il observant plus attentivement le collier.

— Oui, exactement, rends - le moi, me placé - je juste en face de lui.

— Ah... Une valeur sentimentale ? Tu serais donc prête à tuer pour le récupérer ? ne releva - t - il même pas le regard vers moi.

— Je n'ai aucun intérêt à le faire pour le moment, mais si tu ne voulais pas me le rendre, je pourrais bien devenir agressive avec toi juste pour le récupérer, déclaré - je sans peur dans la voix.

— Mh, prête à me faire du mal pour un vulgaire collier ? Tu es bien une de ses humaines amoureuses de façon puérile... chuchota - t - il.

J'étais à deux doigts de récupérer mon collier, mais ses mots avaient réussi à comme me paralyser.

— C'est l'homme que tu aimes qui te l'a offert ? me demanda - t - il finalement.

Moi, Sorcière de ta vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant