First, break-up [Tome 2]

Chapitre 60. Confession (1)

( Helloo tout le monde ! Comment ça va, vous ? Me revoila après presque deux mois, je crois ? Je sais même plus 😅 Bref, cette fois je reviens avec 3 chapitres de prêt et rien que pour vous ! Fini la suspense je vous délivre la vérité sur Hero et ce qui lui ai arrivé pour qu'il en arrive là ! Depuis le temps que je rêvais de ce moment, on y est ! 😭🎉 Enjoyyy et ne soyez pas trop choqué ! 🤭

D'ailleurs, depuis le tome 1, quelqu'un avait deviné ce qui était arrivé à Hero sans même se douter que sa suggestion était totalement véridique! Je ne sais plus qui est cette personne mais félicitations à elle ! ^^

Je compte sur vous pour liker et me faire des retours en commentaire! J'ai eu du mal à écrire ces chapitres, je ne vous pe cache pas, alors j'ai besoin de vous encouragements!!

Sur ce, bonne lecture ! 😘🫡 )

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Hero.

Je redémarre la voiture sans prendre la peine de lire l'expression sur son visage. Je lui ai cloué le bec, j'ai raison et elle le sait. Les doigts serrés sur le volant, je m'engage sur la route en prenant une inspiration pour me calmer. Mon palpitant cogne comme un malade dans ma poitrine. J'affiche un air imperturbable mais j'ai l'impression que mon masque va bientôt fondre sous la chaleur ardente de mes émotions.

Mon sang bout dans mes veines et mes lèvres me brûlent encore de ce baiser. Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas senti aussi vivant. Mon corps est en ébullition et le truc dans ma poitrine au bord de l'explosion. Ça m'a tellement manqué, elle m'a manqué. Je n'arrive pas à croire qu'elle accepte enfin de baisser la garde. Enfin, putain !

Je n'y croyais plus, et la douleur que je ressentais à l'idée qu'elle m'en veuille pour toujours me faisait saigner le cœur. Depuis notre rupture je suis rongé par une colère mélancolique lente et douloureuse. Je ne supportais pas de la voir aussi froide et distante, alors que nous savons tous que je n'aurais pas hésité à faire la même chose si j'étais à sa place – sinon pire. Putain d'hypocrite.

Je ne suis pas aussi gentil que ma blondinette. C'est un fait, et si elle avait osé me faire un coup pareil, vous pouvez être sûr que je lui aurais fait payer ses conneries au centuple. Comme je l'ai fait pour cette chienne.

Jamais je ne lui aurais pardonné ça. Un gros connard plein de haine avec un sérieux penchant pour la vengeance, qui possède le même code génétique que son père mentalement instable. Voilà ce que je suis. Jo, elle, est un modèle de pureté, de gentillesse, et d'indulgence. Sa beauté extérieure n'a d'égal que la beauté de son âme. Un ange de beauté et de bonté.

Et j'ai peur. J'ai peur de la salir et de la dégoûter avec les secrets crade, visqueux, et vicieux, qui me colle à la peau.

Je ne peux pas la perdre, je tiens trop à elle, d'une manière qui me dépasse. Elle a réussi à me mettre dans un état indescriptible juste avec un putain de baiser. Aucune autre ne m'a jamais fait cet effet-là. Le souvenir de la première fois que je l'ai embrassé surgit dans mon esprit éparpillé. Je ne lui trouvais rien de particulier à l'époque, elle n'était qu'une fille parmi tant d'autres.

Une grande gueule avec un joli minois. J'en avais déjà vu d'autres, et l'unique raison pour laquelle je l'avais embrassé c'était pour qu'elle arrête de jacter. Et bordel ... ! Notre baiser m'a procuré une sensation d'étonnement et de plénitude complètement inattendue. Son baiser, c'était de la dynamite.

C'était la première fois depuis ce jour maudit que mon corps réagissait avec autant d'intensité juste en mettant ma langue dans la bouche d'une meuf. Comme si, après des mois de léthargie, mon corps s'éveillait à nouveau au plaisir et au désir charnel. Je renaissais de mes cendres après une longue agonie sexuelle. L'excitation violente et l'appétit vorace qui se sont emparé de mon corps – faisant durcir ma queue comme du goudron, bouillir mon sang, et battre mon cœur – m'ont fait réaliser une chose très importante : j'étais toujours moi.