Le rêve de ma fille ~KG~.

•Chapitre 48•

En nous voyant arrivé droit vers lui, il semble inquiet.

Dr Delcourt : Madame Boissier, tout va bien avec Sarah ?

Chloé : Ouais, la elle dort. Le traitement semble lui être profitable.

Moi : Seulement on voudrait vous demandé quelques chose.

Dr Delcourt : Bien sur, je vous écoute.

Moi : Avec Chloé, on va partir une petite heure ou deux. Si jamais l'état de Sarah nécessite des examens, ont pourrais être averti pour avoir le temps de revenir avant ?

Dr Delcourt : Bien entendu, nous ne ferons rien sans votre présence ( il tourne son regard vers Chloé ) faite nous confiance.

Chloé : Merci docteur.

Il repart et nous allons aux ascenseurs, elle me regarde d'un air un peu gêné.

POINT DE VUE CHLOÉ :

Je regarde Kendji l'air paumé, le pauvre il mérite tellement mieux. Je n'arrive pas à croire qu'il ne part pas en  courant en voyant tout se qu'il se passe.

Kendji : Pourquoi me regarde tu comme ça ?

Moi : Je suis désolé pour tout se qui se passe.

Kendji : Désolé ? Mais enfin se n'est pas de ta faute, ni celle de Sarah.

Moi : C'est vrai, seulement tu es là, présent. Alors que tu aurais pu facilement tomber amoureux d'une autre femme et vivre une vie simple.

Kendji : Se serait plus simple oui, je vivrais se que tout hommes vivent en début de relation et alors ? Moi c'est toi que j'aime, c'est avec toi que je veux être, peu importe la situation.

Moi : Mais je suis incapable de te rendre heureux Kendji, et les emmerdes sont loin d'être fini.

Kendji : Je serais là, quoi qu'il arrive.

Les portes s'ouvrent et nous partons aussitôt en direction du parking. Dehors je prends un bol d'air frais, je ferme les yeux, mes nerfs lâche, je fonds en larmes.

Moi : Je n'en peux plus, je veux que ma fille guérisse.

Kendji : Je sais.

Je me blottis dans ses bras, désespérer et apeuré. Tout en me tenant, il me guide. Pour ma pars, je suis totalement désorientée.

Kendji : On va prendre ma voiture d'accord ? Tu n'es pas en état de conduire.

Moi : D'accord.

Quelques mètres plus loin, nous arrivons à sa voiture et nous montons. J'essaie de me ressaisir, mais c'est bien plus facile à dire qu'à faire. Kendji démarre.

Kendji : Ça va aller ?

Moi : Ça ira mieux quand je serais de nouveau près de Sarah .

Kendji : On ne sera pas long, ne t'en fait pas.

Nous quittons le parking et prenons la direction de l'appartement, j'essaie de me raisonner. Si il aurais le moindre problème, Carmen ou Laetitia m'avertirais. Je pousse un long soupire, comme on dit toujours : Pas de nouvelles, bonne nouvelle !

Nous arrivons sur le parking de mon immeuble un quart d'heure plus tard, les embouteillages nous ont comme toujours ralentis. Nous descendons de la voiture puis entrons, je m'arrête à la boîte au lettre mais rien, que des pub.

Kendji : Jérôme te transfère ton courrier au moins ?

Moi : Au début oui, maintenant c'est ma voisine. Grâce à un arrangement avec le facteur, elle récupère tout se qui est a mon nom et elle me l'envoie.