Le rêve de ma fille ~KG~.

•Chapitre 74•

POINT DE VUE KENDJI :

C'est un cauchemar, il n'y a pas d'autres mots. Assis près de Chloé je me sens impuissant, j'aimerais tellement trouvé les mots pour la réconforter. Mais comment faire quand moi-même je perds espoir.

Moi : Excusez moi, je vais prendre l'air.

Père : Je te suit.

Nous sortons, puis quelques mètres plus loin, mes nerfs lâche, je fou mon poing dans le mur.

Moi : Putain !

Père : Calme toi fils.

Moi : Pourquoi elle papa ? Pourquoi ? ( j'explose en sanglot ) elle ne mérite pas ça.

Père : Je sais.

Il me serre dans ses bras, j'essaie de me calmer.

Moi : Je veux pas qu'elle meurt.

Père : Elle va se battre ne t'en fait pas, on va prié pour qu'elle s'en sorte.

Moi : Mais je ne compte même plus le nombre de prière que j'ai fait, regarde le résultat. C'est de pire en pire.

Père : Je suis d'accord seulement si Chloé ou toi baisser les bras, sa n'aidera pas. Je sais que c'est difficile mais il ne faut pas perdre espoir. Viens on va aller se chercher un café.

Nous descendons à la cafétéria, et en passant nos commandes je tient Thomas au courant des derniers événement.

Thomas : Mon dieu, Chloé doit être dans un état.

Moi : Je ne sais plus quoi lui dire pour la réconforter, c'est comme si tout lui passer à travers.

Père : Il faut la comprendre, il faut qu'elle acquise cette nouvelle épreuve.

Moi : A part que là, j'ai vraiment peur que ce soit l'épreuve de trop.

Les cafés en mains nous repartons, arriver à l'étage, plus je me rapproche de la chambre plus je ressens une boule au ventre. C'est horrible, voir Sarah dans le coma va finir par me rendre malade.

J'essaie de me ressaisir et nous entrons, nous distribuons les cafés. J'arrive près de Chloé, je ne sais même pas si elle réagit à se qui se passe autour d'elle. Son regard reste figé sur Sarah, je lui tend son mug.

Moi : Tient, je tes pris un café.

Chloé : Merci... mais je n'en veux pas ( me repond-t-elle )

Je soupire et pose le gobelet près d'elle, à quoi bon insister et prendre le risque de l'énerver d'avantage.

Mère : Chloé, ce que tu traverse c'est dur, même insupportable. Et crois moi ça me fait mal aussi, je me suis attacher à Sarah et toi.

Chloé : Nous aussi.

Mère : Mais il faut pas que l'ont baisse les bras, tu ne peux pas refuser de manger ou de boire. Personne ne te demande de faire comme si tu ne souffrais pas, seulement boit au moins ce café.

Moi : Ma mère a raison mon amour, on ne te demande pas de boire des litres ou de manger des tonnes, mais juste ce qu'il faut pour tenir.

Chloé : A quoi bon.

Ses larmes coulent de nouveau, je lui prend la main.

Chloé : Si sa ce trouve dans quelques heures je la perdrais, et sans elle, je ne pourrais pas.

Elle tourne son regard en ma direction.

Chloé : Si elle part, je la rejoindrais.

Moi : Mon amour.