Le rêve de ma fille ~KG~.

•Chapitre 75•

Finalement ce réveillon aura ressemblé à une soirée normale, quel cauchemar. Sarah qui attendais tant ce moment, se n'est pas juste. C'est effondré que je monte me rallonger, je fini par m'endormir au fil des heures.

VENDREDI 25 DÉCEMBRE 2015 .

J'ouvre les yeux, dans la pièce il fait encore sombre. Je prends mon téléphone et éclaire le lit de Chloé, mais elle n'est plus là.

Moi : Chloé ?

Sans plus attendre je descends et quitte la salle, je fonce aussitôt à la chambre de Sarah où je la retrouve enfin. Elle démonte le sapin, les larmes aux yeux.

Moi : Mon amour tu es là.

Chloé : Où veux tu que je soit d'autres ?

Je m'approche et fait pour la prendre dans mes bras, elle me repousse.

Moi : Mais...

Chloé : Pourquoi tu ne l'a pas empêcher de me faire cette injection ?

Moi : Parce que tu avais besoin de dormir, Chloé là tu tiens sur les nerfs. Dans le fond, tu es à bout de force.

Chloé : Et alors ? Ma place est auprès de ma fille d'accord ?

Moi : Je suis désolé, Jennifer veillez sur Sarah et.... et au faite où est-elle ?

Chloé : A la cafétéria, elle devait passer des coup de téléphone.

Les décos enlever et enfermer dans les cartons, elle démonte le sapin.

Chloé : Si tu pourrais mettre ses décos loin de ma vue, ça m'arrangerait. Je ne les supporte plus.

Moi : Oui bien sûr.

Inutile de la contrarié d'avantage, elle est déjà assez énerver. Je prends le premier carton et sort de la chambre sans dire un mot.

Quelques aller-retour plus tard tout se qui nous rappelle Noël, a disparu. Chloé tient la main de Sarah, et ses larmes ne cesse de couler.

Chloé : Elle attendait tellement ce Noël.

Moi : Je sais.

Chloé : Je n'en peux Kendji, pourquoi ça nous arrive ? Pourquoi maintenant ? Ça fait des mois qu'elle se bat, elle mérité quand même d'avoir un Noël.

Moi : Bien sûr qu'elle le mérité.

Chloé : Elle n'a jamais fait de mal a personne, c'est pas juste.

Elle fond en larmes une nouvelle fois dans mes bras, cette fois il faut qu'elle m'écoute.

Moi : Mon amour, je sais que tu n'as pas faim et moi même je ne me sens pas de taille de mangé quoi que ce soit. Seulement j'aimerais que tu boit juste un café sucré, certes ça ne sera pas grand chose mais...

Chloé : D'accord, mais avant je voudrais trouvé la force d'ouvrir ce sac rose.

Moi : Oui, je crois qu'il le faut. Si elle a tenu à nous le dire en se sentant mal se n'est sûrement pas pour rien.

Chloé : Prend le.

Je me lève, prend le sac rose au bout de la pièce puis reviens. On se regardent hésitant.

Chloé : C'est trop dur, ouvre le s'il te plaît. Moi je ne peux pas.

Moi : Ok.

Je prends une profonde inspiration puis ouvre, à l'intérieur se trouve des paquets.

Chloé : Il a ton prénom sur celui ci.

Moi : Sur le deuxième il est écrit maman.

Le sac sur le côté nous avons entre nos mains des paquets qui ressemble fortement à des cadeaux.