Le rêve de ma fille ~KG~.

•Chapitre 64•

POINT DE VUE KENDJI :

Il est 20h45 quand mon père et moi arrivons sur le parking de l'hôpital, pour une fois je trouve une place facilement. Il me tarde de retrouver Chloé.

Père : Tu me semble épuiser fils.

Moi : Oui j'y suis mais je gère, ne t'en fait pas.

Nous avançons, la soirée se fait fraîche. Nous entrons dans l'enceinte de l'hôpital.

Père : Tu veux manger quelque chose ?

Moi : Non merci je n'ai pas faim.

Nous prenons les ascenseurs puis montons à l'étage, mais quand nous arrivons à l'étage, dans le service, le docteur Lazzari viens aussitôt à notre rencontre.

Dr Lazzari : Ah Kendji vous revoilà !

Moi : Il y a un problème ? C'est Sarah ?

Dr Lazzari : Non Sarah est stabiliser, c'est Chloé qui m'inquiète.

Il me raconte le déroulement de la journée, jusqu'au malaise. Je ne comprends pas.

Moi : Mais au téléphone, elle ma dit qu'elle allait bien.

Dr Lazzari : J'imagine, elle essaie au maximum de nié son état. Il faudrait qu'elle aille chez elle, passer une bonne nuit.

Moi : Je veux bien, seulement elle n'acceptera jamais de laisser Sarah une deuxième nuit consécutive.

Dr Lazzari : Kendji, si elle continue sur ce chemin, dans deux jours c'est elle qui sera alité avec des perfusions.

Je suis désespéré, comment vais je faire pour la convaincre ?

Moi : Je vais voir se que je peux faire, mais vraiment je ne vous garanti rien.

Père : Merci de nous avoir tenue informer docteur.

Dr Lazzari : De rien, bonne soirée.

Il repart et avec mon père nous avançons jusqu'à la chambre, je toque et nous entrons.

Moi : Holà...

Mère : Ah enfin, vous voilà. Ça va ?

Père : Oui, on a mis le fourgon dans le hangar. Tout est sécurisé.

Je m'approche de Chloé, elle se lève et titube. Je la retiens.

Chloé : Tu ma manquer ( elle se blottis dans mes bras )

Moi : Toi aussi mon amour, le docteur Lazzari ma parler. Tu as fait un malaise ?

Chloé : Se n'est rien je t'assure, juste un petit coup de fatigue. Hein Carmen ?

Mère : Oui...

Non mais je rêve, en plus elles me prennent pour un con.

Moi : Un coup de fatigue ? Pour ça que t'es a deux doigts de te retrouver alité avec une perfusion ? Et toi mama tu la couvre ? Putain mais vous me prenez vraiment pour un con !

Père : Kendji ! S'il te plaît.

Moi : Quoi, c'est vrai non ?

Chloé : Mais tu le connais, le docteur Lazzari il exagère toujours.

Moi : Ah ouais ? Et le fait que tu es à deux doigts de t'écrouler, c'est de l'exagération aussi ?

Mère : Mon chéri, ne le prend pas comme ça. Se n'est pas contre toi, Chloé voulais juste te protéger.

Moi : Mais je n'ai pas besoin d'être protégé mama, d'accord ? Merde je ne suis plus un gosse !

Chloé : Je suis désolé, seulement avec ton père vous avez eu une journée difficile. Je ne voulais pas en rajouter.