•Chapitre 66•

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Le repas terminé, je prends mon traitement et file à la salle de bain. Je me maquille légèrement, juste se qu'il faut pour camoufler mes traie de fatigue. Je reviens une petite dizaines de minutes plus tard, Kendji s'est encore une fois occuper de tout.

Kendji : Voilà, tout est débarrassé. Je me suis permis de mettre tes médicaments dans ton sac au cas où qu'ont ne mangerai pas ici ce soir.

Moi : Tu as bien fait.

Je m'avance et me colle contre son torse.

Moi : J'ai tellement de chance de t'avoir, avec tout se que je vis ses dernier temps tu es vraiment la plus belle chose qui me soit arriver.

Kendji : Toi aussi, crois moi. Grâce à toi je refait confiance en l'amour, et ça, se n'est pas rien.

Il me serre dans ses bras, je me sens tellement bien. Mais il est vraiment temps que l'ont se mettent en route.

Moi : Allons y.

Je prends et enfile mon manteau, Kendji en fait de même. Je suis si impatiente de retrouver Sarah, et aussi de lancer la démarche auprès du docteur Lazzari pour avoir ma fille chez moi.

Kendji : Ton sac a main mon amour ( il me le tend )

Moi : Ah oui ( je le prends ) merci.

Nous quittons l'appartement et je ferme à double tour derrière nous, déjà que Jérôme a vidé tout ce qui avait dans notre maison je n'ai pas envie qu'il me prenne le peu que j'ai dans cet habitation.

Comme hier, Kendji prend le volant et heureusement. Je suis si nerveuse que je serai capable de faire calé la voiture à tout les coins de rue. Je ne tiens pas en place sur mon siège.

Kendji : Tout va bien ?

Moi : Tu crois qu'on pourrait avoir Sarah dès demain à l'appartement ?

Kendji : Sûrement, si le docteur Lazzari donne son accord.

Moi : Il faudrait qu'ont démonte son lit pour qu'ont est la place de mettre celui de l'hôpital.

Kendji : Oui ne t'en fait pas, se sera vite fait.

Moi : Et même la nuit, faudra que je mette des alarmes sur mon téléphone pour aller voir si tout va bien.

Il rigole, je rêve ou il se moque de moi ?

Moi : Pourquoi tu rie ?

Kendji : Parce que tu es là, branché comme une pile, déjà qui ta dit que je te laisserais te lever seule ? Moi aussi je me lèverai pour veiller sur elle.

Moi : Non je ne peux pas te demander ça, toi tu as la fin de ta tournée qui approche. Il faut pas que tu te fatigue d'avantage.

Kendji : Mais je me sens bien, je dirai même en pleine forme. Et je veillerait sur Sarah et sur toi.

Moi : Moi je n'ai pas besoin de surveillance ( je sourie ) regarde une bonne nuit de sommeil, deux bon repas et c'est reparti.

Kendji : Tu te sens peut-être mieux mais tes résultats de prise de sang n'ont pas la même version, tu reste fragile.

Je lève les yeux au ciel, tout comme le docteur Lazzari, il dramatise beaucoup trop. Nous arrivons devant l'hôpital quelques minutes plus tard, comme souvent en début d'après-midi nous avons du mal à trouver une place.

Moi : Là bas regarde.

Kendji : On est trop loin de l'entrée, ça va aller pour toi ?

Moi : Je te remercie, je n'ai pas quatre-vingts ans.

Le rêve de ma fille  ~KG~.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant