𝟔𝟑. Faiblesse

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CHAPITRE 63
L'enfer c'est les autres

CHAPITRE 63L'enfer c'est les autres

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— Tu avais raison...

Je joue avec mon couteau, assis sur une chaise le regard dans le vide. Je sens le regard de Jaquann sur moi et je continue.

— J'ai beau lui faire comprendre... Que tout est de ma faute, et que je suis celui qui lui apporté tout les problèmes... Elle reste quand même.

Il ricane, et pose amicalement sa main sur mon épaule.

— Je te l'avais dit.

— Elle m'aime... Vraiment.

— Ça aussi je te l'ai dit, et elle te l'a dit aussi.

Je ris jaune et passe une main dans mes cheveux.

— Elle est vraiment folle.

— Et toi t'est un putain de malade, vous vous êtes bien trouvé non ?

J'acquiesce d'un mouvement de tête avec un petit sourir en coin. Je m'étire longuement avant de me lever. Mes pas sont lents volontairement, tandis que je m'approche de Leslie. Elle est là, figée sur la chaise, les poignets et les chevilles entravés. Impossible pour elle de bouger.

Une fois devant elle, je lui arrache le scotch qui lui couvre les lèvres, et elle pousse un gémissement de douleur.

Je m'abaisse à sa hauteur et l'a regarde froidement.

— J'espère que tu la nuit t'a porté conseille, alors t'a intérêt à parlé. Sinon, je vais commencer par te retirer les ongles un par un, et ensuite... Je me ferais un plaisir de te couper les doigts un par un également. Est-ce-que c'est ce que tu veux Leslie ?

Elle tremble, les larmes roulant sur ses joues.

— N-non... Non, je vais parler ! C'est promis, je vais parler Kali... Mais ne touche pas à mes doigts par pitié, elle renifle.

— Très bien ma beauté.

Je ramène ma chaise devant elle et l'a retourne, je pose mes bras sur le dos de la chaise et appuie ma tête sur mes bras attendant qu'elle parle.

— Mais... Je t'en supplie, promet-moi de... Promet-moi de protéger ma mère dès le moment où je vais me mettre à parler... Sinon.. Elle sera morte, je t'en supplie Kali.

— On avisera plus tard, maintenant je veux que tu parles.

— Promet-le moi !

— C'est moi qui fixe les règles.

— Elle est ta tante Kali ! C'est un membre de ta famille, et tu as toujours dit que jamais tu ne tuerais un membre de ta famille.

— À quelques exceptions près.

Kali's PrincessOù les histoires vivent. Découvrez maintenant