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14h21
Je prend les transports en commun en direction du comissariat de police. Je ne peux pas laisser ce type s'en tirer comme ça, non seulement il m'a tiré dessus mais il a une emprise malsaine sur Princess.
J'ignore comment elle a fait la rencontre de ce criminel, mais je suis déterminé à mettre un terme à son influence sur elle, peu importe les risques. Je repense à notre conversation, à ses regards évitants, à ses réponses évasives. Il est clair qu'elle cache quelque chose à propos de Kali, et je suis prêt à tout découvrir pour la protéger.
Arrivé devant le commissariat, je prends une profonde inspiration, rassemblant toute ma détermination et entre à l'intérieur. Le pousse la porte et arrive à l'accueil.
Je m'approche du bureau d'accueil, où un policier est en train de travailler derrière un comptoir. Il relève les yeux de son ordinateur et me regarde avec attention.
— Bonjour, je suis venu porter plainte.
Le policier derrière le comptoir me regarde attentivement, notant ma déclaration.
— Bonjour, monsieur. Je vous écoute, dit-il d'une voix professionnelle.
Je prends une profonde inspiration, conscient de l'importance de mes prochaines paroles.
— Je souhaite porter plainte contre un individu nommé Kali. Il est impliqué dans des activités criminelles et il a tiré sur moi. De plus, il exerce une influence néfaste sur une personne proche de moi, que je veux protéger.
— Kali comment ? demande le policier en levant la tête.
— Je l'ignore mais.. Je peux vous le décrire physiquement.
Le policier hoche la tête, prêt à prendre note de mes informations.
— Oui, bien sûr. Décrivez-le autant que possible.
Je commence à décrire Kali aussi précisément que je le peux, mentionnant ses traits distinctifs, sa taille, sa corpulence, ses tatouages s'il en a, tout ce qui pourrait aider à son identification. Mais au fur et à mesure que je fais ma description, l'expression du policier change et devient de plus en plus appeuré et craintif. Il arrête de noté et lève les yeux vers moi.
— Vous.. Vous êtes sûr de la personne que cous décrivez ?
— Absolument ! Il faut l'arrêter, ce type doit être derrière les barreaux. Il est dangereux et-
— Calmez-vous monsieur, écouter mon chef n'est pas là. Si nous avons du nouveau, je vous tiens au courant.
— Mais je n'ai pas finit, il vous faut plus d'information où..
— Non, écoutez c'est très bien comme cela, merci encore d'être passé et dès que nous avons du nouveau, nous allons vous tenir au courant.
