𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟕𝟎 On ne tombe pas amoureux, on le devient
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Assise sur le comptoir de salle de bain, je soigne le beau visage de Kali qui se trouve entre mes jambes, les bras appuyé à l'extrêmité de mes cuisses, en appliquant l'alcool sur ses blessures, il me regarde faire sans rien dire, il n'a pas grimacé une seule fois, il doit être encore sur le choque de ce que je viens de faire tout à l'heure chez ma mère.
― Tu es folle, répète-t-il pour la enième fois.
― Et toi tu es fou mon amour, je lui vole un baiser et met le sparadra sur sa joue droite, et voilà ! Tu es tout comme neuf.
Il pose ses mains sur mes cuisses et les caresses avec son pouce, j'enroule mes mains autour de sa nuque et il m'embrasse passionnément, je répond à son baiser avec autant d'intensité.
Je brise doucement le baiser pour plonger mes yeux dans les siens, encore brillants d'émotions mêlées.
― Tu sais que je ne pouvais pas te laisser partir seul, Kali, murmurai-je, sentant la vulnérabilité dans ma voix.
― Je sais cariño, moi aussi jamais je n'aurais pu partir sans toi.
Sans attendre, il me porte tel une princesse et nous ramène dans la chambre. Il me pose sur son lit et retire ma nuisette à une vitesse et mon sous-vêtement en dentelle, il monte sur moi et m'embrasse plus sauvagement que tout à l'heure. Je gémis contre ses lèvres et enroule mes mains autour de sa nuque.
Il prend ma lèvre inférieur entre ses dents puis s'attaque ensuite à mon cou qui est une de mes zones sensible. Je ferme les yeux en laisse échapper plusieurs soupire de plaisir en gémissant son nom. Il parsème mon cou, ma clavicule et ma poitrine de baiser puis prend prend l'un de mes tétons en bouche.
Je relève la tête en arrière, la bouche grande ouvertue en gémissant voir en hurlant de plaisir. Ses mains expertes se baladent sur tout le long de mon corps pendant qu'il s'attarde longuement sur ma poitrine.
― Je ne peux plus attendre, j'ai envie de te prendre, maintenant, mumure-t-il près de mon visage.
― Moi aussi.. Je te veux.
Il s'éloigne et retire son pantalon puis son boxer, je baisse les yeux sur son membre long et gonflé et immédiatement mon bas-ventre se contracte et je sens mon intimité s'humidifé à la vue de sa queue.
Il ouvre le tiroir à côté du lit et prend un préservatif, il l'enfile agilement puis m'écarte brutalemment les cuisses, sans me quitter des yeux avec ses doigts il caresse la vente de mon intimité et un long frisson me parcourt le dos et je ferme les yeux aux contact de ses long doigts contre ma boule chair.
― Mhh ! gémis-je.
Mon bassin se relève, et il enfonce non pas un mais deux doigts au fond de moi et me carresse ma boule de chair gonflé de de désir, je balance en me tête en arrière en hoquetant de plaisir, il fait des vas et viens et au même ou j'allais atteindre l'extase il retire ses doigts puis se place entre moi, il m'embrasse le front, le nez, puis les lèvres et me pénètre lentement, tout en prenant son temps jusqu'à ce que je sente l'entièreté de son membre en moi, je le regarde droit dans les yeux un sourireu aux lèvre et il entame et ses vas et vient.
