𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟓𝟓 On dit que l'amour est aveugle, donc je préfère le voir dans mes pensées.
Quelques part...
― Laisse-moi du temps.. Je t'en supplie je...
La personne n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'elle reçut une claque puissante en plein visage, sa tête pivotant vers l'autre côté.
― Le temps c'est de l'argent, l'argent c'est du temps ! Alors dépêche-toi, ma patience à des limites.
― D'accord... sanglote la personne, l-laisse-moi élaborer un plan.
― Oh, ça je n'en doute pas une seconde. Mais pour être sûr, je vais te donner une petite leçon histoire de faire avancer les choses. Tu as assez traîné, et je me suis montré très patient avec toi.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.
― T'a déjà été amoureux ? je demande à Jaquann.
Il arrête de jouer avec son couteau et fait mine de réfléchir.
― Non, jamais. Pourquoi ?
― Comme ça, je hausse les épaules et je fixe Princess avec mes jumelles depuis ma voiture.
Elle semble épuisée et joue avec son stylo au lieu d'écouter le prof.
J'ai vraiment une attitude de stalker.
Princess a commencé ses études à l'université, j'ai pratiquement passé la semaine avec elle avant qu'elle reprenne ses cours.
― Elle écoute à peine le prof, dis-je avec un sourire moqueur aux lèvres.
― La dernière fois que je t'ai vu comme ça, c'était avec ton ex.
― Comment comme ça ? je demande les yeux toujours rivés sur Princess.
― Comme tu es, là maintenant.
Je baisse les jumelles, et me tourne vers lui.
― Mec, t'es amoureux.
― Dégage de là.
― Arrête un peu de te voiler la face, y'a rien. T'as le droit de trouver l'amour, moi aussi j'aimerais trouver l'amour, mais je sais que je suis un fils de chien avec les meufs. Mais toi...
