𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟔𝟗 Tu étais l'ombre de ma lumière, nous as-tu sentis ?
BOOM.
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Une balle vient de traverser la pièce.
Je m'observe et réalise que je suis indemne. Mario ne me regarde plus, mais son arme reste braquée sur moi. Son regard horrifié est fixé sur autre chose. Je suis la direction de ses yeux et aperçois Leslie qui a elle les yeux écarquillé.
Elle baisse la tête sur son ventre, une balle venait de l'a toucher, du sang sort de sa bouche, elle me regarde les yeux grand ouvert avant de tomber raide au sol, très rapidement, je désarme Mario et lui prend l'arme des mains, ces hommes braquent leurs arme sur moi et je me serre de lui comme un bouclier.
—Bon, il faut croire que mon heure n'est pas encore venu, tu n'est pas d'accord tìo ? dis-je ironiquement.
Les hommes de Mario braquent leurs arme sur moi, mais au même moment, au loin, je vois un homme cagoulé, habillé tout en noir.
Je reconnais immédiatement les yeux vairon de Jaquann et bordel de merde, je n'ai jamais été aussi content de le voir de ma vie.
— À terre Kali ! m'hurle-t-il.
Je l'obéis et relâche Mario et me met à terre, et des déferlements de balles venant de plusieurs mitraillettes. Les balles fusent de tous côtés, créant un chaos assourdissant dans la villa. Les hommes de Mario tombent tous un par un comme des dominos, les cadavres s'enchaînent autour de moi.
Je sens l'adrénaline couler dans mes veines alors que je reste couché, écoutant le vacarme des armes à feu. Tout y passe, les tableau, les verres, le plafond, le sol, les mur troué.
En tournant ma tête, je croise le regard de Leslie les larmes aux yeux, la bouche ensanglanté.
— Kali.. murmure-t-elle dans ce vacarne, s-sauve m-moi.. Je suis.. Je suis désolé... Je.. ne veux.. Je ne veux pas mourir, ses yeux s'humidifent.
