-Discernez les soucis qui vous tracassent, puis remplacez-les par les promesses de Dieu. Réévaluez les situations et apprenez à les considérer selon une perspective nouvelle et plus saine.
-Avec le temps, je me suis rendu compte d'une chose: 99% de tout ce qui me faisait peur ne s'est jamais réalisé. Ce qui ne m'a pas empêché de gaspiller un temps fou à me tracasser. Combien j'aimerais pouvoir rattraper le temps et l'employer à quelque chose d'utile. Et si j'avais transformé mes soucis en occasions de louer Dieu? De l'inquiétude à la louange, "La force, l'honneur, voilà ce qui l'habille. Elle rit en pensant à l'avenir." Proverbes 31: 25. Il n'y a chez elle aucun signe de lassitude ou d'épuisement, ni dans ses pensées ni dans les tâches qu'elle accomplit. Elle rit en pensant à l'avenir, non par insouciance, mais dans une attitude de confiance qui vient de Dieu. C'est grâce à sa foi en lui qu'elle est revêtue de force et d'honneur, qu'elle a ce sourire sur les lèvres et ce rire dans le coeur en pensant à ce qui vient. La fidélité qu'il lui a manifesté par le passé, elle en a l'assurance, lui garantit qu'il se chargera des difficultés que peut lui réserver l'avenir.
-Aide-moi à me reposer dans tes bras aimants en sachant que tu veux pour moi le meilleur. Au nom de Jésus. Amen. À propos de chacun de ces sujets d'inquiétude, écrivez une prière à Dieu.
-Si nous voulons vraiment pouvoir tirer profit des difficultés que nous rencontrons, nous devons cesser de supplier Dieu d'y mettre un terme au plus vite et apprendre à lui demander humblement: Seigneur, dans quel but m'as-Tu conduite dans cette situation?
-Nous avons tous reçu de Dieu des capacités et des talents qui nous sont propres et qui caractérisent notre manière d'être créatives. Mais nous ont-ils été donnés uniquement pour notre plaisir? Ils peuvent être un moyen d'obéir au commandement de Jésus, des moyens d'exprimer notre amour pour les autres. Et tout commence par une simple question: Qu'ai-je à disposition? Vous avez la main verte? Et si vous montriez un peu d'amour en offrant à vos voisins quelques légumes de votre jardin et en leur disant combien vous êtes contente qu'ils habitent si près de chez vous? Vous aimez la cuisine? Pourquoi ne prépariez-vous pas vos fameux cookies aux pépites de chocolat pour les offrir à votre facteur, afin de le remercier de vous apporter fidèlement le courrier? Vous savez manier le pinceau? Vous pourriez réaliser un tableau l'offrir à quelqu'un qui traverse un moment difficile. ou vous pourriez aider une jeune étudiante à repeindre sa chambre de cité universitaire. Aimer notre prochain n'a pas besoin d'être un dur labeur. Nous pouvons obtenir de grands résultats avec de tout petits gestes.
-Les versets de Colossiens 3:23-24 nous donnent justement la solution pour ces moments où nous voyons les choses de façon négative. Ils nous proposent une nouvelle manière de considérer notre travail "Tout ce que vous faites, faites-le de tout votre coeur, comme pour le Seigneur et non pour des hommes." Lorsque je m'arrête pour méditer ce texte, trois expressions retiennent mon attention:
1. Tout ce que vous faites: cela ne désigne pas seulement les tâches que j'apprécie, les choses que je prends plaisir à faire ou le travail qui m'apporte de la reconnaissance, mais tout ce que je fais.
2. De tout votre coeur: cela veut dire que je montre de l'entrain et de l'intérêt, que je m'implique sincèrement, que j'y mets de l'énergie et que je m'applique. Hum... je ne suis pas certaine que cela décrive bien ma manière de voir ce qui se trouve sur ma liste...
3. Le Seigneur c'est le Seigneur lui-même que nous servons en faisant notre travail avec entrain, ce n'est pas avant tout notre mari ou nos enfants, ni notre chef ou le président. C'est Jésus-Christ en personne que nous servons à travers les tâches que nous accomplissons.
-Nous n'avons pas de corvées, nous avons. des privilèges. Rendons grâce à Dieu pour cela. Père, merci pour toutes les choses à faire que j'ai sur ma liste. Rappelle-moi toujours que c'est pour Toi que je le fais.
