-Dieu a mis à notre disposition des « moyens de grâce » (notamment sa Parole, la prière, l'adoration, la cène, la communion fraternelle), pour que nous puissions grandir dans notre relation avec lui.
-Ne regarde pas en arrière, excepté pour remercier Dieu de t'avoir sortie de situations difficiles ou de t'avoir aidée à les traverser. Ensuite, pose-toi cette question : « Que vais-je faire avec le temps qu'il me reste ? »
-Alors, que vais-je faire du temps qu'il me reste ? Ma réponse est la même qu'il y a 40 ans : je vais faire en sorte qu'il compte ! Je peux lutter, être en difficulté, mais lui demeure fidèle.
-L'espérance de l'Évangile est suffisamment grande, suffisamment belle et suffisamment extraordinaire pour conférer à chaque étape de notre vie une valeur et une beauté qui lui sont propres.
-La véritable adoration confère du caractère à notre vie, de l'humilité à notre attitude, de la force et de la confiance à notre témoignage.
-La connaissance de Dieu qu'a le psalmiste ne lui vient pas de son imagination ni des circonstances qu'il traverse: il n'y a aucun doute à cela. Elle est le fruit de la révélation que Dieu donne de lui-même à travers sa Parole.
-Quel que soit votre âge, commencez dès aujourd'hui à prier pour que Dieu vous accorde la grâce de rester forte jusqu'au bout... en acceptant la faiblesse jusqu'au bout!
-Quel est le but principal de la vie de l'homme? Le but principal de la vie de l'homme est de glorifier Dieu et de trouver en lui son bonheur éternel.
-Chacun est le produit de ses convictions théologiques. Ce que nous croyons ou ne croyons pas au sujet de Dieu se voit tous les jours à notre façon d'être. Une doctrine saine conduit à une pensée saine et à une vie équilibrée.
-Ce que le psalmiste déclare ensuite est magnifique: "Tu me réjouis par ce que tu accomplis, Éternel" Nous avons tendance à chercher la joie dans les personnes, dans les choses matérielles ou dans les circonstances, mais nous finissons toujours par être déçues. En effet, même lorsque nous sommes réjouies par tout cela, cette joie n'est que passagère. En général, nous n'associons pas la joie et l'adoration.
-Notre vocation première est de le glorifier. Toute sles autres vocations en sont, pour ainsi dire, le prolongement. Que nous soyons des employées, des cheffes d'entreprise, des épouses, des filles, des mères, des mères célibataires, des veuves ou des femmes âgées, notre appel à servir les autres ou à traverser l'épreuve est un appel à glorifier Dieu au sein des circonstances qui sont les nôtres. Le contexte diffère, mais la vocation demeure. Souvent, lorsqu'une femme prend sa retraite ou que ses enfants quittend le nid, elle se sent inutile, parce que sa vie était centrée sur ce qu'elle faisait, et non sur ce qu'elle devait être. Mais l'appel à glorifier Dieu transcende l'espace et le temps, les situations et l'âge.
-Charles Bridges: Rappelons-nous, encore et encore, que Dieu doit être au commencement de tout ce que nous entreprenons. Le secret de la force et du succès du chrétien est un cœur élargi par l'amour divin.
-Il nous accorde le bonheur. Il nous remplit de joie. Et ce bonheur et cette joie, cet émerveillement et cette louange ne s'estompent pas avec l'âge: ils s'intensifient jusqu'à ce que nous arrivions dans la patrie céleste.
-Voici en quels termes le théologien R.C. Sproul décrit l'espérance inébranlable qui est la nôtre: En fin de compte, notre vocation divine ne consiste pas à souffrir, mais à nourrir une espérance qui triomphe de la souffrance.
-À 84 ans, Anne avait choisi de considérer son veuvage comme une occasion à saisir pour glorifier Dieu. Louer le Seigneur au lieu de nous laisser aller au désespoir.
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