Se focaliser sur Jésus dans un monde de distraction
-Jésus désire que ses voies radicales deviennent les vôtres. Il veut que l'humilité soit votre marque de fabrique. Il vous appelle à lui obéir, même s'il faut faire des sacrifices, se soumettre et souffrir. Il veut que vous serviez les autres. Il souhaite ardemment que la splendeur de Dieu sa gloire, sa louange et sa renommée, soit votre principale préoccupation. Notre monde compte d'innombrables distractions qui peuvent remplir vos journées, mais elles ne transformeront pas votre vie.
-Nous n'avons pas été placés sur cette planète pour chercher du réconfort ; au contraire, nous sommes appelés à participer à une mission.
-La mission de Jésus consistait à rechercher et à sauver les perdus, et aujourd'hui, cela commence par la capacité de voir chaque personne dans son individualité. Demandez à Dieu de vous aider à voir les gens. Cherchez à être plus attentif aux personnes qu'il place sur votre chemin. Essayez de voir les personnes différentes de vous à travers les yeux de Dieu. Il nous faut nous rappeler que chaque homme ou femme que nous rencontrons est tellement aimé de Dieu que Jésus est mort pour lui ou pour elle.
-Apprendre à connaître et à aimer les personnes de notre entourage est fondamental dans notre obéissance à Dieu. Il s'agit d'une puissante expression de l'amour de Dieu envers celles et ceux qui ne le connaissent pas ou ne le suivent pas encore.
-Trop souvent, nous nous attendons à ce que des personnes qui ne connaissent pas Jésus ou ne le suivent pas se présentent d'une manière ou d'une autre à l'église. Notre approche consiste à s'attendre qu'ils viennent à nous, alors que l'approche de Jésus était exactement l'inverse. Son principe n'était pas d'attendre et d'espérer que les gens viennent à lui. Il se concentrait délibérément, activement et stratégiquement sur la recherche de personnes avec qui engager le contact.
-Jésus était disponible pour les autres et Il veillait à le rester ; Il acceptait l'invitation à diner de presque n'importe qui et, par conséquent, aucun personnage public ne possédait une liste d'amis plus disparates, composée de riches, de centurions romains et de pharisiens.
-Un de mes amis et mentors, le Dr Dave Overholt, a l'habitude de suivre l'exemple de Jésus dans son approche amicale, et de l'enseigner. Il encourage les disciples de Jésus à être 10% plus amicaux avec les personnes qu'ils rencontrent dans leurs relations quotidiennes. Être 10% plus amical signifie prendre un moment supplémentaire avec la caissière du supermarché, le serveur du restaurant, le chauffeur de taxi ou un autre voyageur. Cela signifie prendre le temps d'une réelle présence avec eux, comme le ferait Jésus. Pour commencer, il s'agit de leur porter vraiment de l'attention car ces personnes comptent pour Dieu. Il faut leur poser une question, puis prendre le temps d'écouter la réponse. Croyez-le ou non, cette pratique simple et naturelle peut déboucher sur des occasions d'encouragement, de service pratique, de prière et même de conversations plus approfondies sur la foi. Il est étonnant de voir ce qu'un tel changement de perspective simple mais intentionnel peut accomplir pour construire des ponts et ouvrir la voie à l'Évangile.
-Les gens que Dieu met sur notre chemin affrontent des défis intérieurs dont il se soucie profondément.
-Remplis-moi, Saint Esprit, de la plante de mes pieds jusqu'au sommet de ma tête. Que ta puissance me remplisse, me transforme, déborde pour inonder les autres, et produise du fruit qui te glorifie, pour ta seule gloire.
-Sans lien profond et personnel avec l'amour de Dieu, je tentais de le servir en puisant dans des réservoirs sur le point de s'épuiser. Je me demandais souvent si mon action était suffisante, alors je m'efforçais d'agir de manière encore plus efficace et engagée. Je tentais de gagner mon accès à Dieu, et je me retrouvais toujours avec le sentiment de ne pas être suffisamment performant. Je dus reconnaître que mes actes et mon service dépendaient de moi seul. Je me consumais à tenter d'agir pour Dieu. Remarquez que j'écris « pour Dieu », et non pas « avec Dieu ». En essayant d'agir pour Dieu, j'agissais seul. Dans mon approche, Dieu et mes actions relevaient de domaines bien séparés. Une telle attitude provoquait en moi un sentiment de profonde solitude dans tous mes engagements. Je ne comprenais pas que Dieu désirait être avec moi, même quand je ne faisais rien de particulier pour Lui. D'une certaine manière, je n'avais pas compris que Dieu était tout à fait capable d'accomplir son œuvre sans moi. Après tout, n'avait-il pas créé les cieux et la terre sans mon aide ? Il parvenait à tenir sa création et à maintenir son équilibre sans contribution de ma part.