Neil Anderson
-acrophobie : peur des lieux élevés
-Agoraphobie : peur des lieux public, des espaces
-hématophobie : peur du sang
-monophobie : peur de rester seul
-pathophobie : peur de tomber malade.
-xénophobie : peur des inconnus et des étrangers.
-La connaissance de Dieu et une relation correcte avec lui constituent la seule réponse satisfaisante à ces problèmes émotionnels. La crainte de Dieu vient à bout de toutes autre crainte.
-Ce que nous avons appris avant de venir à Jésus doit être désappris au moyen de la repentance et du renouvellement de notre esprit. Personne ne pourra réparer notre passé, mais nous pouvons nous en affranchir par la grâce de Dieu. En Christ et en lui seul, nous avons l'assurance de vaincre nos peurs.
-Nous croyons que tout enfant de Dieu peut être libéré de n'importe quelle angoisse maladive et apprendre à faire l'expérience d'une vie libérée en Christ.
-Dieu incarné signifie la fin de la peur : et le cœur qui prend conscience de sa présence en lui, qui prend au sérieux l'assurance de sa présence d'amour, restera serein au milieu des difficultés.
-Aucun être humain ne mérite qu'on place sa foi en lui.
-Prier devrait être le premier réflexe du chrétien, et c'est tout spécialement vrai des problèmes mentaux ou émotionnels.
-Si vous tentez de résister au diable sans vous soumettre à Dieu au préalable, vous vous exposez à bien des déconvenues. Si vous vous soumettez à Dieu sans résister au diable, vous resterez lié.
-Les forteresses se forment à tout moment de la vie, mais le plus souvent pendant la petite enfance. Elles peuvent se muer en mode de vie jusqu'à la tombe, à moins que n'intervienne la grâce de Dieu. La thérapie cognitive et comportementale (TCC) peut effectivement aider les gens à identifier les fausses croyances à la racine de maintes angoisses maladives, mais seule la présence de christ et la vérité de sa parole, pourront les dissiper définitivement.
-La liberté ! Un espoir immense m'envahissait, et c'est ainsi qu'à commencer mon parcours vers le renouveau. J'avais passé tant d'années sous l'emprise de ma peur, de la peur d'avoir peur. Cette compréhension m'a placée sur le chemin de la paix. Toutes ces années passées à me cacher et à craindre me valent aujourd'hui de souffrir d'irritation intestinale chronique. J'ai souvent les nerfs à fleur de peau. Mais mon intelligence et mon esprit sont en paix. Mes veilles cassettes essaient toujours de se dérouler dans ma tête, mais je parviens à les arrêter grâce à la vérité. Jésus est avec moi tous les jours, et je n'ai rien à craindre.
-Un savoir superficiel est dangereux une connaissance approfondie libère. Deux personnes régiront différemment à la même situation du fait de leurs expériences et systèmes de croyances différents. C'est pourquoi l'un dira à l'autre : « Je ne vois pas pourquoi tu te fais tant de souci » ou « De quoi donc as-tu peur ? » Ceux qui savent ne comprennent pas pourquoi les autres sont apeurés ou anxieux. Voilà pourquoi il est dit que la vérité nous rendra libres.
-Je me rends compte que je n'avais pas grand-chose à perdre en partageant l'Évangile avec ce passager. Je risquais seulement de m'entendre dire que Dieu n'était pas sa tasse de thé, et de ressentir de la déception ou de la tristesse devant l'endurcissement de son cœur. Au pire, il aurait pu m'envoyer sèchement sur les roses, et j'aurais été embarrassé le reste du voyage. Rien de bien grave. Même en sachant que j'avais peu à perdre et beaucoup à gagner, j'avais tout de même dû lutter avec moi-même pour surmonter ma peur de témoigner. Il avait besoin d'entendre la bonne nouvelle, ce qui comptait beaucoup plus que ce que j'avais à perdre (une privation temporaire de confort) en lui disant la vérité.
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