Edward T.Welch
-Je suis si frustrée contre ma fille. Parfois, je veux être respectée plus que je souhaite être patiente ou compréhensive. Pouvez-vous prier pour moi? (1 Co 13:4).
-Nous nous intéressons aux détails de la vie des autres ,car Dieu connaît des détails apparemment insignifiants à leur sujet, comme le nombre de cheveux sur leur tête. Est-ce leur première visite à l'église?
-Quelqu'un s'est-il vraiment intéressé à votre vie? Comment cette personne s'est-elle approchée de vous? De quelle manière cela vous a-t-il encouragé?
-Nous espérons être motivés par la manière dont Jésus s'y est pris avec nous. Comment Jésus s'est-il approché de vous?
-Nous avons l'impression que les circonstances difficiles de la vie constituent nos problèmes les plus urgents. Néanmoins, les luttes reliées à la foi et à l'obéissance à Christ sont encore plus importantes. La souffrance, par exemple, ne peut pas nous séparer du Seigneur, mais les coeurs endurcis, tout comme les péchés tenaces, brisent notre relation avec Dieu.
-Voici une vérité riche de sens: Dieu s'adresse à nous de façon personnelle, par conséquent, nous devons nous approcher de lui et des autres de façon personnelle.
-Il ne sert à rien d'offrir des conseils à quelqu'un qui n'en a pas demandé, même si cette personne a des difficultés. Ces conseils décrivent ce que nous ferions dans cette situation, même si nous ne nous sommes jamais trouvés dans une telle situation. C'est là une attitude paternaliste et dépourvue de compassion.
-L'intention consiste à inviter l'autre à s'ouvrir davantage, et c'est sans doute ce qui se produirait dans certaines relations. Or, ces commentaires pourraient aussi s'écarter du sujet de la conversation pour parler de ce qui se trouve dans son cœur et non dans celui de l'autre. Dans le cas où l'on partage une expérience personnelle semblable, il faut s'assurer de revenir à ce qui préoccupe l'autre.
-Voici les points essentiels quand il s'agit d'aider et de prendre soin des autres: Adoptons une approche personnelle, c'est-à-dire allons à la rencontre des autres, apprenons à les connaître et à nous émouvoir de ce qui leur tient à cœur.
-Il faut se souvenir d'un principe général: parler des circonstances difficiles et des bonnes choses avant d'aborder les mauvaises. Par exemple: l'apôtre Paul mentionne de nombreux péchés graves lorsqu'il écrit à l'Église de Corinthe. Et pourtant, il commence en soulignant le bien: "Je rends à mon Dieu de continuelles actions de grâces à votre sujet, pour la grâce de Dieu qui vous a été accordée en Jésus-Christ. Car en lui vous avez été comblés de toutes les richesses qui concernent la parole et la connaissance, le témoignage de christ ayant été solidement établi parmi vous, de sorte qu'il ne vous manque aucun don.
Ici, Paul fonde sa pensée sur son appartenance à Jésus et sur l'identité de saint que le Père lui a accordée avant toute autre. Nous voulons faire de même.
-Le péché lui-même n'est pas bon, mais une bénédiction de pouvoir reconnaître ses propres péchés. Celui qui voit le péché manifeste plus de reconnaissance pour le pardon qu'il a. Celui qui voit le péché manifeste plus de reconnaissance pour le pardon qu'il a.
Quand nous voyons notre péché, nous savons que nous sommes prêts de la lumière. En revanche, si nous ne voyons pas le péché, nous devons alors nous méfier de notre cœur.
-On ne trouve pas que des épreuves dans le désert. Ce désert est l'endroit où l'eau jaillit des rochers et où la manne tombe chaque matin.
-Que se passe-t-il quand nous faisons de l'Exode notre propre histoire? Celle-ci commence par notre propre délivrance de l'esclavage: "Je suis l'Éternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte, de la maison de servitude".
-Vivez par la foi: concentrez-vous sur ce qui est invisible (Hébreux 11:1). La vue normale n'est pas suffisante.