49 | Massacre à l'état pur

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ERAH



« La société assassine les détenus, jour après jour, nuit après nuit »







Il venait de rentrer dans son bureau, je prends ma béquille et prends 10 ans à le rejoindre. Je toque, ce dernier hurle « entrez » mais lorsqu'il me voit rentrer il fronce des sourcils.





Karel - Erah ? Qu'est-ce que tu fais debout, maledizione ?

Moi - Je fais de la rééducation et ça va beaucoup mieux tu sais ?

Karel - Erah...

Moi - Nan je veux juste savoir ce qu'il se passe Karel. J'en ai assez qu'on me tienne à l'écart !

Karel - ON TE TIENT À L'ÉCART PARCE QUE TU ES CENSÉE ÊTRE MORTE !






Je fronce des sourcils en entendant cela, il l'avait crié, j'avais donc sursauté.






Karel - Écoute, je voulais pas te faire peur. Cette situation m'irrite assez et j'..j'ai des choses à régler avant de te laisser revivre ta vie Erah. On te fait passer pour morte le temps que le plan s'élabore et qu'on puisse éteindre l'organisation de Greta. Elle est au courant pour Rosso mais avec Silvio on a une longueur d'avance. Une fois que tout cela est fait, je peux te promettre que tu la vivra ta vie.

Moi - Et avec qui vais-je la vivre ?






Il fronce des sourcils et me regarde avec incompréhension.





Moi - Tu t'impliques fortement dans cette histoire mais s'il t'arrivait quoi que ce soit. Avec qui vais-je la vivre ma vie si tu es loin de moi ? À quoi ça sert ?






En comprenant où je veux en venir. Il s'approche de moi et m'enlace de ses gros bras. Son corps est chaud, ses battements du coeur se veulent rapides et forts.






Karel - Je serai toujours près de toi. Pense pas à ça.

Moi - Tu m'en fais la promesse ?

Karel - Ti prometto. Qualunque cosa accada, seguirò sempre le tue orme, Erah (Quoi qu'il en soit, je marcherais toujours derrière tes pas).





Je souris discrètement et recale ma tête sur son torse. Il me caresse doucement les cheveux puis me porte doucement pour m'amener dans la chambre.








Karel - Mi manca il tuo corpo (ton corps me manque)

Erah - Anche il tuo (le tien aussi)

Karel - Je n'arrive pas à oublier cette nuit tu sais ?

Moi - Moi non plus. On se la refait ? -rires-

Karel - Tu..

Moi - Je vais bien Karel. Guide-moi. J'en ai besoin.

Karel - J'en ai aussi besoin







Il enlève délicatement mon débardeur, m'embrasse tendrement la poitrine, il descend jusque mes tétons pour les attraper un à un en bouche afin de les suçoter.

TRAPPOLAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant